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5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 03:49

 

 


Sus derechos han sido violados en 502 proyectos de infraestructura

 

Denuncia colectiva de indígenas de Bolivia, Brasil y Perú ante la CIDH

Rosa Rojas Corresponsal

 

Periódico La Jornada  Martes 3 de noviembre de 2009, p. 17


La Paz, 2 de noviembre. Devant la commission Interaméricaine des droits de l'Hommes,des indigènes de Bolivie du Pérou et du Bréil ont dénoncé ce jour leurs gouvernements respectifs pour cause de violation des droits collectifs de leurs peuples à cause de la construction de projets d'infrastructures dans le cadre de l'Initiative de l'Intégration Régionales Sudaméricaine.

Indígenas de Bolivia, Perú y Brasil denunciaron hoy ante la Comisión Interamericana de Derechos Humanos (CIDH) a sus respectivos gobiernos por la violación de derechos colectivos de sus pueblos, como resultado de la construcción de proyectos de infraestructura en el marco de la Iniciativa de Integración Regional Sudamericana.

En la audiencia, Leonardo Crippa, del Centro de Recursos de Derecho Indígena, detalló que con los 502 megaproyectos que comprende la iniciativa se violan derechos al consentimiento libre e informado, a la propiedad colectiva, la libre determinación, el autogobierno y la salud.

Rodolfo López, primer cacique general de la Organización Indígena Chiquitana de Bolivia, dijo que la carretera de 600 kilómetros Santa Cruz-Puerto Suárez-parte de la ruta interoceánica sur pone en peligro la existencia de su cultura, porque ha facilitado la invasión de sus tierras. En audiencias por separado en la CIDH, con sede en Washington, se presentaron delegaciones del Senado y del gobierno boliviano.

 

 

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Une video:

Las comunidades indígenas de la Amazonía de Bolivia protestan contra el avasallamiento de sus territorios y la manera inconsulta para inciar la explotación petrolera en tierras protegidas, que por su biodiversidad y gran riqueza biológica son muy vulnerables a los daños irreversibles del negocio multinacional de los hidrocarburos.

 

 

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Pueblos originarios y comunidades campesinas conminan a frenar las operaciones mineras y petroleras que no cuentan con su expreso consentimiento y que destruyen el medio ambiente. El Presidente cuestiona a los líderes de la protesta y dice que están manipulados por las ONGs ambientalistas

Plusieurs peuples d'origine et plusieurs communautés paysannes  exigent que l'on mette un frein aux opérations minières et pétrolières qui n'auront pas obtenu leur consentement éclairé et qui détruisent l'environnement.

Le Président remet en cause les leaders de ce mouvement de protestation et les accuse d'être manipulés par des ONG écologistes.

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La Bolivie d'Evo Morales ferme les yeux sur les barrages de Lula

Paru le Samedi 31 Octobre 2009

   BERNARD PERRIN, LA PAZ    

AMAZONIE - Que la gauche remporte ou non le scrutin bolivien de décembre, le rio Madeira n'échappera pas aux dommages écologiques et sociaux des deux futurs barrages brésiliens.


Que restera-t-il dans une décennie du «poumon de la terre» et des populations indigènes qui l'habitent? Que les gouvernements du Brésil ou de Bolivie soient «de gauche» ou «indigéniste» n'y change rien. Entre les mégaprojets énergétiques, les exploitations pétrolières ou minières et les monocultures d'agrocombustibles, l'Amazonie, et ses richesses naturelles stratégiques, est aujourd'hui plus que jamais l'ultime digue face au capitalisme.


A la frontière bolivienne, le Brésil vient de lancer sa version amazonienne des travaux d'Hercule: la construction du plus grand projet hydroélectrique du continent sud-américain.

Sur le rio Madeira, principal affluent du fleuve Amazone, le gouvernement du président Luiz Ignacio «Lula» da Silva va débourser d'ici 2013 plus de 10 milliards de dollars pour la construction de deux mégabarrages, à Jirau et San Antonio qui généreront au total près de 7000 MV. Les travaux, qui ont démarré cet été, sont dirigés par Odebrecht, la plus grande entreprise de construction d'Amérique latine, dont le chiffre d'affaires a atteint, en 2007, 17 milliards de dollars, un montant supérieur au PIB de la Bolivie et du Paraguay réunis.
Les promoteurs du projet espèrent que les deux ouvrages permettront le développement d'un gigantesque pôle agroindustriel au coeur de l'Amazonie, en plus d'alimenter, par une ligne à haute tension, les industries de Sao Paulo, à plusieurs milliers de kilomètres au sud-est.


Ces ouvrages auront un impact écologique énorme au vu de la topographie extrêmement plate du bassin amazonien. De quoi inquiéter le voisin bolivien, dont la frontière se situe à moins de 90 kilomètres du premier des deux barrages, celui de Jirau.
 «Les Brésiliens ont carrément manipulé les modèles mathématiques pour calculer par exemple la sédimentation au fond des lacs de retenue….Explicable toutefois: il ne s'agissait pas d'études, mais d'opinions émises par des chercheurs payés par... Odebrecht, le maître de l'ouvrage!»


Populations déplacées
Les premières études menées du côté bolivien arrivent à la conclusion qu'au minimum 500 km2 de terres riveraines seront définitivement inondées.
 Le bassin du rio Madeira, c'est plus d'un million de km2 (25 fois la Suisse). C'est donc une folie de réaliser de tels barrages sans avoir au préalable effectué des études sérieuses».

«Plus de 300 espèces de poissons migrateurs seront menacées d'extinction, mettant en péril, pour le seul territoire bolivien, la survie économique de 16 000 pêcheurs traditionnels, de leurs familles et de leurs communautés».

Du côté brésilien, la construction des barrages nécessitera le déplacement d'au moins 15 000 personnes.

 

Face à la menace, la Bolivie a tardé à réagir.

Depuis 2006, le ministre des Affaires étrangères David Choquehuanca a certes fait régulièrement part de la «préoccupation» de l'Etat bolivien face aux répercussions environnementales des deux barrages.

Mais si certains ministères, comme celui de l'Environnement, ont combattu le projet brésilien, d'autres, comme celui de l'Energie, ou les cercles proches du président, à commencer par le vice-président Alvaro García Linera, y sont ouvertement favorables.

 Le Bloc des organisations paysannes et indigènes du Nord amazonien (BOCINAB) ne s'y est d'ailleurs pas trompé. Il a exigé l'arrêt immédiat de la construction des barrages et déposé dans la foulée une demande de mesures provisionnelles devant la Commission interaméricaine des droits de l'homme. Pour l'heure sans succès: le rouleau compresseur brésilien semble impossible à arrêter.

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5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 01:19

Les paysans accusent les indigènes d'accaparer les terres

Los campesinos dicen que indígenas acaparan tierras

Fuente: La Razón, 25 de septiembre de 2009


Los campesinos apoleños quieren que el gobierno anule la TCO del pueblo de Lecos para que esas tierras sean entregadas en calidad de dotación para fines agrícolas.

Les paysans de la provine Franz Tamayo (département de La Paz) disent que les Territoires Communautaires d'Origine occupent 80% des terres dans cette région.

Ils accusent le gouvernement et L'Institut National de Réforme Agraire de prendre parti en faveur des Territoires Communautaires d'Origine.

Ils vont bloquer les routes en signe de protestation.

Los campesinos de la provincia Franz Tamayo dicen que las TCO de indígenas ocupan el 80% de las tierras en esa región. Acusan al Gobierno y al INRA de parcializarse a favor de las tierras comunitarias. Radicalizan el bloqueo de vías.

Los campesinos de la provincia Franz Tamayo, en el departamento de La Paz, denunciaron ayer que el Gobierno repartió en forma inequitativa las tierras en esa región. Explicaron que de las 1,06 millones de hectáreas en esa zona, 859 mil, el 80 por ciento, están en manos de las Tierras Comunitarias de Origen (TCO) y sólo 210 mil en su poder.

 

En la mañana de ayer, el director general de Tierras, Clíver Rocha, aseguró que la repartición de tierras a indígenas y campesinos, en general, se realiza de forma equitativa, aunque no tenía datos concretos. Abrió la posibilidad de conseguir las cifras para la tarde, pero ya no se lo encontró en su oficina y su teléfono móvil estaba apagado.

Mario Flores, dirigeant des paysans de la province Franz Tamayo a informé que pour appuyer leur dénonciation d'inégalité dans la distribution des terres ils se sont réuni hier (24 septembre 2009) pour bloquer la route à Aten, sur l'itinéraire Apolo-La Paz. Il a indiqué qu'ils maintiendront ce moyen de pression jusqu'à obtenir que le gouvernement annule les attributions du statut de TCO dans cette province et qu'il effectue une redistribution des terres.

Mario Flores, dirigente de los campesinos de la provincia Franz Tamayo, informó que ante su denuncia de distribución desigual de tierras ayer sumaron un punto de bloqueo de  camino en Atén, en la vía Apolo-Mapiri. Este corte de carretera se suma al otro iniciado el miércoles 23 en Turucunca, en la ruta Apolo-La Paz. Indicó que esta medida de presión se mantendrá hasta que logren que el Gobierno anule la titulación de las TCO en la provincia y una redistribución.

Los campesinos, según informó Flores, sostuvieron un ampliado el miércoles 23. Allí aprobaron una resolución en la que observan la titulación de tierras en la zona y exigen una nueva titulación equitativa.

El primer punto de la parte resolutiva de los campesinos determina “movilización y bloqueo indefinido hasta la anulación total del Polígono 1 de la TCO Lecos Apolo y Polígono 6 de la TCO Pilcol Larecaja”.

En el segundo punto resuelven “condenar enérgicamente la aberrante parcialización del Instituto Nacional de Reforma Agraria (INRA) nacional y del Viceministerio de Tierras, cuyas autoridades serán los únicos responsables de todos los hechos en Apolo”.

En el tercer y último punto los campesinos resuelven “reiterar nuestra vehemente solicitud al Tribunal Agrario Nacional de anular el polígono 1 Leco Apolo como única manera de pacificar nuestra provincia y proceder a un nuevo saneamiento de tierras con equidad”.

Flores explicó que, en el caso de los polígonos 1 y 6 observados, se presentan constantes problemas de límites de provincias, cantones y comunidades.

El dirigente campesino denunció que en las titulaciones incluso se registraron sobreposiciones de títulos de TCO a terrenos de campesinos que están en proceso de saneamiento.

Al referirse al proceso de anulación de los polígonos 1 y 6 que cursa en el Tribunal Agrario Nacional, sostuvo que el INRA y el Viceministerio de Tierras evitan enviar dos informes, elaborados por la Prefectura de La Paz y el Defensor del Pueblo, que dan curso a esa demanda.

Ambas reparticiones estatales “falsearon la verdad e hicieron aparecer comunidades indígenas inexistentes en el polígono uno”, sostiene la resolución aprobada.

Al referirse al avasallamiento de tierras, Flores indicó que en la provincia Franz Tamayo las TCO que realizan esos atropellos son San José de Uchupiamonas, Pilón Lajas, Mosetenes, Pilcol Larecaja y Lecos Apolo, las cuales desconocen los límites de los cantones campesinos colindantes.

En ese sentido, advirtió que las movilizaciones de los campesinos continuarán y se seguirán masificando, hasta lograr que sus demandas sean atendidas.

Al referirse al proceso de saneamiento de tierras, el Director de Distribución de Tierras prevé que hasta el 2013 se llegará a sanear 60 millones de hectáreas. “Estamos hablando (del saneamiento) para campesinos e indígenas, no quisiera hacer una diferencia de cuánto va a ser para unos y cuánto para otros. Nuestro principio fundamental es equidad y justicia”, manifestó.

Los campesinos de Apolo ya protagonizaron un conflicto con los indígenas Leco durante el mes de mayo del 2007.

 

LA DENUNCIA CONTRA INDÍGENAS

Los límites • Las Tierras Comunitarias de Origen (TCO) en la provincia Franz Tamayo del departamento de La Paz, según los campesinos del lugar, desconocen los límites que hay con la provincia Larecaja, además de las comunidades y los cantones.

Abusos • Mario Flores, dirigente de los campesinos de la citada provincia, denunció que los indígenas de las TCO instaladas en Franz Tamayo quemaron casas y destruyeron cultivos de arroz de los campesinos, luego de recibir la titulación de sus tierras.

Una sobreposición • El dirigente Mario Flores asegura que el INRA y el Viceministerio de Tierras favorecieron a los indígenas en la dotación de sus títulos en la provincia Franz Tamayo. Incluso, sostiene, sobrepusieron la propiedad de las TCO a terrenos de campesinos que están en proceso de saneamiento.

       .        El Territorio Indígena Leco Larecaja está ubicado en el departamento de La Paz , entre las provincias Franz  Tamayo y Larecaja. El Territorio forma parte de los municipios de Apolo, Guanay y Teoponte. Al norte colinda y se sobrepone parcialmente con el Área Natural de Manejo Integrado-Parque nacional Madidi, con el que comparte uno de los espacios más diversos del mundo, clasificaso como de Sobresaliente Importancia Global por la Evaluación de Ecoregiones terrestres de Latinoamérica, realizada por WWF y el Banco Mundial.                                                                                                                .

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             Déjà en 2007....

Campesinos de Apolo se asentaron en el área más rica del Parque Madidi
ENLARED MUNICIPAL | [18.05.07]

"L'aire intouchable" est la zone la plus riche en biodiversité des 1 880 996 hectares du Parc National Madidi au nord du département de La Paz et c'est précisément dans ce secteur que les paysans de Apolo se sont installé mercredi dernier, en quad et armes à la main .
Les fonctionnaires du Parc ne peuvent effectuer de contrôles d'identité car on les a menacé d'être pris en otages s'ils essayaient.
 Ces fonctionnaires signalent que les industriels du bois tirent parti du conflit pour couper des arbres, et ils demandent l'intervention du gouvernement.


El área intangible es la zona más rica en diversidad de las 1.880.996 hectáreas del Parque Nacional Madidi en el norte de La Paz y es justamente en ese sector que los campesinos de Apolo se instalaron desde el miércoles pasado, motosierras y armas en mano. Los funcionarios del parque están imposibilitados de realizar controles porque fueron amenazados con ser tomados de rehenes en caso de intentarlo.
 Éstos señalan que los madereros están aprovechando el conflicto para talar mara y piden la intervención del Gobierno.

                                                                               . . .

                                                     Derribaron monumento indígena

Une autre forme de protestation des paysans de Apolo fut de déboulonner sur la place principale le monument à Santos Pariamo,  leader indigène de l'etnie LECO qui lutta pour l'indépendance et la liberté des peuples d'origine.

Otra medida de protesta de Apolo fue derribar en la plaza principal el monumento de Santos Pariamo, líder indígena Leco que luchó por la independencia y libertad de los pueblos originarios.


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Revenons à 2009...

la Federación de los campesinos, de la provincia Franz Tamayo, promovieron el desconocimiento definitivo de la organización Central Indígena del Pueblo Leco de Apolo (Cipla). ___________________________________________________

La Paz, 15 de Oct (Erbol).-

la fédération de paysans de apolo dans le département de La Paz a procédé à un vote de détermination pour APPELER A UN REFERENDUM DANS LE BUT DE NIER L'EXISTENCE DES INDIGENES DE L'ETNIE LECOS, avec lesquels ils ont des dissentions pour des questions d'attribution des terres.

La Federación de Campesinos de Apolo del departamento de La Paz sacó un voto resolutivo para llamar a un referéndum con el fin de desconocer a los indígenas lecos, con quienes tienen diferencias por problemas de tierras.

Le Grand Capitaine des indiens Lecos, Aldo Chambi, a déploré que l'on essaye de cette manière d'aller contre leur identité culturelle.

"Notre existence n'est pas illégale, nous sommes les Lecos et nous avons respecté toutes les procédures prévues par la loi, et donc ce reférendum ne peut interdire une identité culturelle."

El capitán grande de los lecos, Aldo Chambi, lamentó que con ese hecho se intente ir contra la identidad cultural. “No somos ilegales, los lecos existimos y hemos cumplido con todos los procedimientos que la ley determina, por lo tanto este referendo no puede ir contra de una identidad cultural”, dijo.


Añadió que las identidades no están en juego y aseguró que sus territorios ya están titulados y calificó de anticonstitucional la propuesta de los campesinos apoleños. De darse este hecho aseguró que se buscará ayuda de instancias internacionales.

 

 

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(à propos du parc Madidi:

       
Parabas del Madidi

Declarado por la revista National Geographic como una de las zonas con más biodiversidad del planeta y uno de los 20 lugares con mayor interés turístico a nivel mundial.

Tiene límites comunes con áreas protegidas peruanas como el Parque Nacional Bahuaja Sonene y la Reserva Tambopata, por lo que forma parte de importantes propuestas de corredores biológicos como el Corredor Vilcabamba – Amboró, de iniciativa binacional Perú – Boliviana y el Corredor Amboró – Madidi, este último a nivel nacional.

El PNANMI Madidi es uno de los más grandes de Bolivia en extensión, 1.895.750 hectáreas, de las cuales 1.271.500 hectáreas corresponden a la categoría de Parque Nacional y 624.250 hectáreas a la categoría de Área Natural de Manejo Integrado.

La riqueza del Madidi radica en su variación altitudinal, desde la serranía de Altuncama hasta las pampas entre el río Heath y Madidi, el área abarca un rango altitudinal desde los 5.700 hasta los 180 msnm.


Con relación a otras Áreas Protegidas en Bolivia y otros bosques a nivel internacional, como Barro Colorado en Panamá, La Selva en Costa Rica, Tambopata y Manu en Perú, la fauna del Parque Madidi se destaca debido a su diversidad de vertebrados, principalmente aves y mamíferos. El PNANMI Madidi alberga 1370 especies de vertebrados presentes y 619 probables, alcanzando una diversidad de fauna de vertebrados de 1989 especies.

En este parque existe muchas alternativas para la práctica de ecoturismo, especialmente por la presencia de empresas de turismo comunitario, con la participación de etinas y grupos de orígen Quechua, Tacana y Mosetén. Dentro de los emprendiimientos turísticos más importantes podemos mencionar a: Chalalán, San Miguel del Bala, TES y Mapajo.

 

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UN lien pour en savoir plus sur les problématiques du parc = http://www.ecobolivia.org/es/home.php

 

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  "Pensar la cuestión indígena exige de todos nosotros una reconversión de categorías y tomar distancia de nosotros mismos.
 No se trata sólo de devolver tierras sino de respetar territorios donde otros modos de vida y de organización social y política sean posibles.
Los pueblos indígenas son memoria de futuro, no harapos de un pasado sobrante del que uno puede deshacerse alegremente. Sobre todo en ecología y medio ambiente, las grandes áreas y territorios indígenas se manifiestan como reservas de gran valor para el futuro del país.
"


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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 03:42


 DESDE QUE ASUMIO EVO, SE DIO TITULO DE PROPIEDAD PARA 28,4 MILLONES DE HECTAREAS

La reforma agraria del MAS en Bolivia         Por Gustavo Veiga

El director del INRA, Juan Carlos Rojas, señaló a Página/12 que esperan llegar a los 40 millones de hectáreas regularizadas a fin de año. Pese a los obstáculos, también se avanzó en Pando y Santa Cruz.

 

La reforma agraria en Bolivia avanza, aun pese a las dificultades que encuentra a su paso el gobierno de Evo Morales.

En el INRA (Instituto Nacional de Reforma Agraria), un organismo descentralizado del Ministerio de Desarrollo Sostenible y Planificación, manejan estadísticas alentadoras.

Para fin de año esperan que haya 40 millones de hectáreas saneadas. O sea, tierras entregadas con su correspondiente título de propiedad o identificadas para determinado uso. Juan Carlos Rojas, su director, sostiene que “el país tiene 109 millones de hectáreas de las cuales 106 son del área rural y es obligación del INRA intervenir en ellas para que podamos entregar el título ejecutorial a la persona que corresponda”.

El instituto, durante los tres años de gobierno del MAS, saneó y tituló hasta hoy 28,4 millones de hectáreas en todo el territorio nacional.

Cuando se compara esa cifra con lo hecho durante los diez años anteriores del INRA, la actual gestión sale robustecida.


Creado en 1996 por la Ley 1715 del Servicio Nacional de Reforma Agraria, hasta enero de 2006 –cuando Evo asumió la presidencia–, había regularizado 9,2 millones de hectáreas. En ese decenio que cubrieron los mandatos de Gonzalo Sánchez de Lozada, Hugo Banzer, Jorge Quiroga, otra vez Sánchez de Lozada, Carlos Mesa y Eduardo Rodríguez Veltzé se titularon en promedio un millón de hectáreas por año, mientras que en el gobierno actual se superan los 8 millones.

Rojas define al proceso de “Revolución agraria” –así lo llama el gobierno– como “casi único en el mundo porque se está haciendo en democracia, con evidente tensión entre los sectores, pero a su vez con la aceptación de que debe regularizarse el derecho propietario de distribución de la tierra. Especialmente este saneamiento, un procedimiento técnico legal que es muy detallado en Bolivia y no se aplica en otros países. Es más bien el resultado de una evolución histórica de nuestro proceso agrario”. El director del INRA dialogó con Página/12 desde La Paz, donde se encuentra la oficina central del organismo, que tiene nueve filiales por cada uno de los departamentos del país.

Según datos proporcionados por el funcionario, del que dependen 900 empleados, el Plan Estratégico Nacional de Saneamiento y Titulación de Tierras 2007-2013 (Pensat) apunta a distribuir y titular 20 millones de hectáreas entre las comunidades indígenas y campesinas sin tierra. Esta es una de las principales razones de ser del INRA.

Rojas, un licenciado en Ciencias de la Educación que aprendió las cuestiones agrarias trabajando con los indios guaraníes en el Chaco Boliviano, sabe que, pese a los notables avances de su gestión, resta todavía mucho por hacer: “El INRA, además del saneamiento, tiene que realizar otras dos grandes acciones. Por una parte, la verificación del cumplimiento de la función económico-social de la tierra. En realidad, ésa es nuestra tarea constante, dos años después de que la tierra ha sido titulada. Y por otro lado, está a cargo del catastro rural, del proceso de generación de esta base de datos y del mantenimiento de esa información hacia el futuro”.

Autor de un artículo que puede leerse en la página oficial del instituto, www.inra.gov.bo al que le puso de título “La verdadera historia de ese papelito”, cuenta cómo gestionan hectáreas de tierra quienes aspiran a trabajarlas. “Imagínense –señala– si falla alguno de estos componentes, si falla alguna pieza en esta maquinaria o, mejor, si falta alguien en este cuerpo: no sale el papelito que todo el mundo espera de nuestro trabajo. Todos somos imprescindibles para cumplir nuestra misión y recibir, al final, ese abrazo o beso de algún anciano o viejecita que esperó toda su vida para tener en sus manos ese papelito; ese acto tan humano compensa todas nuestras penurias”.

Los empleados del INRA han tenido graves dificultades en los departamentos de Santa Cruz y Pando para aplicar la Ley 3545 de Reconducción Comunitaria de la Reforma Agraria.

El Estatuto Autonómico de la primera región le confirió al gobierno local la atribución de disponer sobre “la propiedad, la regularización de sus derechos, la distribución, redistribución y administración de las tierras del departamento”.

Rojas afirma que “temporalmente se afectó nuestro trabajo porque hubo resistencia violenta a nuestra participación en la titulación de tierras. Pero eso fue momentáneo. Y se resolvió el año pasado con el referendum revocatorio. Los problemas que hubo no afectaron nuestras metas, porque en 2008, pese a los ataques a oficinas del INRA y agresiones a nuestros funcionarios, hemos logrado en el departamento de Santa Cruz sanear un poco más de tres millones de hectáreas”.

Pando había sido el primer departamento que se declaró saneado en el país el 2 de agosto de 2008 y donde existe una gran concentración de la tierra en manos de ocho familias. La recolección de castañas es su principal actividad productiva.

El 11 de septiembre del año pasado se produjo la matanza de dieciséis campesinos, por la que fue imputado como autor intelectual el ex prefecto Leopoldo Fernández, quien todavía espera por un juicio junto a veintiséis personas más.

“Ahí se ha modificado la estructura de distribución de la tierra. No había ninguna comunidad indígena reconocida con derechos propietarios. Nosotros, con nuestro trabajo, hemos titulado más de dos millones y medio de hectáreas a comunidades campesinas, sólo en Pando”, agrega Rojas.


En Bolivia, uno de los temas no resueltos es la migración desde el occidente, en la zona del Altiplano, hacia el oriente, donde están las tierras más productivas, dos terceras partes del territorio nacional.

Los datos oficiales aproximados que posee el INRA sobre cómo están distribuidos los millones de hectáreas rurales son: producción agropecuaria intensiva 4,1 millones; agropecuaria extensiva, 4,2; agropecuaria con limitaciones, 3 millones; ganadería extensiva e intensiva, 17,5; ganadería con limitaciones 10,4; forestal con y sin limitaciones, 32 millones; protección y reserva, 17 y uso pastoril, de 10 a 11 millones.

El INRA tiene atribuciones para expropiar latifundios agrarios por causas de interés público y recuperar tierras si no se cumple el objeto económico social para el que fueron destinadas. Así lo establece la Ley 3.545. Gracias a ella el gobierno de Evo Morales otorgó el 75 por ciento de los títulos de propiedad que se entregaron desde que se creó el instituto en 1996. En apenas casi cuatro años. Incluso los críticos de algunas de sus políticas para el campo, como la ONG Fundación Tierra, sostienen que el probable triunfo del oficialismo en las elecciones de diciembre, alentará la profundización de los cambios.

 

 

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Deforestacion en el Chaco

para cultivar soya.    >

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

desforestacion de los

yungas bolivianos.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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Montero, Santa Cruz (Bolivia), 11 ago (ABI).-
El estatal Instituto Nacional de Reforma Agraria (INRA) entregó el martes 100 títulos de propiedad agraria a pequeños productores de caña en la localidad de Montero, en Santa Cruz (este de Bolivia), producto de las negociaciones entre el Gobierno y la Unión de Cañeros Guabirá, informaron fuentes oficiales.

 "Entregamos cerca de 100 títulos a la mayor parte de pequeños productores cañeros con quienes hemos tenido un convenio el año pasado y son los primeros resultados de la voluntad mostrada por ambos sectores que ojalá nos permita ampliar este trabajo a la totalidad de los afiliados y poder cubrir a cerca de 500 afiliados que son en esta organización", explicó Juan Carlos Rojas, director del INRA.

Los 100 títulos abarcan cerca de 3.000 hectáreas ubicadas en el área más productiva del norte de Santa Cruz, que genera el mayor movimiento de la actividad de la caña de azúcar.

El Gobierno y productores acordaron potenciar la producción de alimentos en el oriente de Bolivia, para garantizar la seguridad alimentaria del país.

La administración Morales ha destinado un fondo de 200 millones de dólares para potenciar, en el este boliviano, la producción de alimentos para el mercado interno y la exportación.

martes 11 de agosto de 2009  Publicado por José Antonio Cortez Torrez



NB :
Con la reforma de la Ley INRA se busca básicamente la reversión de la tierra bajo la causal de que no cumpla con la función económico-social, es decir que no sea productiva. En la norma actual (2006) se considera que los predios por los que no se pagan impuestos por dos años no cumplen la función económica-social.

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     Denuncian que quieren dividir el área protegida de Tuca Vaca


El alcalde de Roboré, Idelfonso Insua Rodríguez, declaró ayer que tienen informes acerca de la intención de algunas autoridades del Instituto Nacional de Reforma Agraria (INRA) de parcelar la mitad del área protegida de Tuca Vaca, que está en la jurisdicción de ese municipio de la provincia Chiquitos.

Insua indicó que el área, de 267 mil hectáreas, fue ocupada en dos oportunidades pero los loteadores fueron desalojados.
“En una tercera ocasión se pidió la intervención del INRA y sus personeros llegaron hasta Roboré donde se asumió el compromiso de sostener una reunión en Santa Cruz de la Sierra para dar solución definitiva al conflicto”, apuntó el burgomaestre.
La reunión se hará este miércoles entre dirigentes de los sectores involucrados. Sin embargo, Insua dijo que ‘sospecha’ de un arreglo previo de las autoridades con los ocupantes de la reserva que ha sido declarada área municipal protegida para evitar el loteamiento. Afirmó que no se permitirá el cercenamiento de las tierras.


(El deber.com ; 9/11/09)
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Una declaracion del vice ministro de Tierras a 5 de noviembre del 2009
:El viceministro de Tierras, Alejandro Almaraz afirmó que el gobierno pretende sanear 30 millones de hectáreas hasta finales de 2009, para lo cual el Instituto Nacional de Reforma Agraria (INRA) deberá sanear dos millones de hectáreas más en estos dos últimos meses del año.

   La autoridad explicó que el país tiene 109 millones de hectáreas de tierra, de las cuales 106 son del área rural y es obligación intervenirla, a través del INRA. Según esta institución hasta octubre fueron saneadas y tituladas más de 28 millones de hectáreas en el territorio nacional.

Almaraz explicó que en 10 años, desde la vigencia de la Ley INRA hasta el 2006, solamente se habían saneado en el país menos de 10 millones de hectáreas. ANF
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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 02:44
 Un petit retour en arrière pour essayer de comprendre la position des cocaleros  ...
 Cocaleros se niegan a salir del TIPNIS; dicen que el Presidente los protege

  Le gouvernement a envoyé un détachement de policiers dans la province Moxos du Département du Béni pour déloger des centaines de planteurs de coca installés illégalement dans le Territoire Indigène Parc National Isiboro Securé (TIPNIS), mais les paysans arrivés du département de Cochabamba refusent d'abandonner le site, en croyant qu'ils seront protégés par Evo Morales.


El gobierno envió un destacamento policial a la provincia Moxos de Beni para desalojar a cientos de cocaleros asentados ilegalmente en el Territorio Indígena Parque Nacional Isiboro-Sécure (TIPNIS), pero los campesinos de Cochabamba se niegan a abandonar el área, creyendo que el Presidente Evo Morales los protegerá.
 Le TIPNIS est l'un des Parcs Nationaux les plus sujets à des conflits à cause de la présence massive de colons originaires des Andesqui s'y livrent à la culture de la coca.

El TIPNIS es uno de los Parques Nacionales más conflictivos debido a la presencia masiva de colonizadores andinos dedicados al cultivo de coca.

En 1990 se tuvo demarcar una "Línea Roja" en ese territorio mediante Decreto Supremo 22610 (24/09/90) para evitar nuevos asentamientos.

En 1992, el dirigente de la Subcentral del TIPNIS Marcial Fabricano y el líder de los colonizadores Evo Morales Ayma  identificaron puntos geográficos para separar la superficie colonizada del territorio habitado por comunidades indígenas; y dos años después definieron de mutuo acuerdo por primera vez una Línea Roja que delimitaba el área.

El 25 de abril de 1997, el Estado otorgó a la Subcentral del TIPNIS el Título Ejecutorial de Tierras Comunitarias de Origen TCO-NAL-000002 de 1.236.296 hectáreas en calidad de dotación; y en 1998 el INRA dispuso el saneamiento de la totalidad de la superficie titulada.

Durante las pericias de campo, los colonos y las autoridades desconocieron los avances alcanzados hasta entonces. El INRA cometió errores en la cartografía y reconoció un área de colonización mucho más extensa de la que realmente ocupaban los sindicatos.

Más tarde, el gobierno de Carlos Mesa autorizó el cultivo de coca al interior de la Línea Roja en el TIPNIS.

En la segunda mitad de 2004 se propuso redefinir la Línea Roja tomando en cuenta los vértices acordados en 1994, en concertación con la Subcentral TIPNIS y con los sindicatos de colonos aglutinados en el Consejo Indígena del Sur (CONISUR). Así, se redefinieron 25 puntos en la denominada Línea Roja de una longitud aproximada de 107 kilómetros.

Pero los acuerdos no prosperaron y la Subcentral del TIPNIS continuó denunciando invasiones de colonizadores.

El 29 de julio de 2006 tuvieron que intervenir el viceministro de Tierras Alejandro Almaraz y el prefecto de Beni Ernesto Suárez para evitar enfrentamientos en la comunidad San Miguelito.

La comunidad y las autoridades nacionales y departamentales se comprometieron a evitar que la colonización continué avanzando, y se envió un contingente de policías a San Miguelito, principalmente a la franja de amortiguamiento, de donde se desalojó a varios campesinos.

Meses después se verificó el asentamiento de colonizadores en el área de manejo forestal del Bloque I, más allá de la Línea Roja concertada anteriormente, y la Subcentral se vio obligada a echar a más de 150 intrusos que estaban por constituir la comunidad Santa Rita, muy adentro de la TCO.

Luego se conformaron cuatro comisiones mixtas colono-indígenas, dos para el saneamiento de la Línea Roja, una para tratar el caso de la zona colonizada al margen extremo del río Isiboro, y otra comisión para estudiar la construcción de la carretera transoceánica Villa Tunari -Trinidad, considerada un peligro para los pueblos originarios.
En juin 2009 le gouvernement de Evo Morales a remis aux communautés des peuples Mojeño, Yuracaré y Chimaninstallés sur les rives des fleuves Isiboro et Securé le titre de propriété collective du TIPNIS de 1 091 656 hectares dans la province de Moxos du département du Béni, au nom de la Résolution Suprème 230292.
En junio de 2009, el gobierno de Evo Morales entregó a comunidades de los pueblos Mojeño, Yuracaré y Chiman asentadas en las riberas de los ríos Isiboro y Sécure el título ejecutorial colectivo del TIPNIS de 1.091.656 hectáreas en la provincia Moxos del departamento de Beni, mediante Resolución Suprema 230292.

>>Vidéo Youtube: Evo Morales délivre les titres de propriété aux Peuples d'Origine

 

 

 

 

                                                               Los cocaleros no se resignan


Les indigènes mojeños, yuracarés y chimanes sont les maîtres légitimes du territoire TIPNIS mais au moins 500  planteurs de coca squatters refusent de rendre leurs terres en argumentant qu"ils "sont au gouvernement" et qu'ils ont le soutient du Président Evo Morales.

Indígenas mojeños, yuracarés y chimanes son los dueños legítimos del TIPNIS, pero al menos 700 avasalladores cocaleros se niegan a devolverles sus tierras con el argumento de que "están en el gobierno" y tienen el respaldo del Presidente Evo Morales.

Se estima que en los asentamientos Llallagua, Urkupiña y Uncía dentro del TIPNIS habitan más de 700 cocaleros. El sábado pasado ( Septiembre del 2009), los indígenas intentaron expulsarlos y mataron a uno de ellos, pero los avasalladores están dispuestos a defender sus ocupaciones ilegales con armas de fuego y cachorros de dinamita.

El ministro de Gobierno Alfredo Rada y el viceministro de Defensa Social Felipe Cáceres confirmaron que brigadas de la Fuerza de Tarea Conjunta (FTC) desalojarán a los cocaleros y erradicarán sus plantaciones de coca. Dos fiscales de Cochabamba y una comisión de funcionarios del Viceministerio de Tierras y del INRA llegaron a la zona para investigar.

Según el director del INRA Juan Carlos Rojas, no se conoce la cifra de cocaleros que habrían tomado las tierras indígenas, pero aseguró que todos serán desalojados "con el uso de la fuerza pública".

"Evo Morales sabe dónde está su gente; será grave si no defiende los derechos de los pueblos indígenas", declaró a Erbol la secretaria de Educación de la Confederación Nacional de Mujeres Indígenas de Bolivia Teresa Limpias, candidata a diputada suplente por la circunscripción 62 de Beni por el MAS.

Evo Morales, jefe de las seis federaciones del trópico, ha hecho creer a los cocaleros que avanzando con sembradíos de hoja de coca van a consolidar territorio a favor de Cochabamba. Y como su "jefe" es el Presidente de los bolivianos, los cocaleros creen que están en el gobierno y avasallan a los indígenas, comentó el senador Walter Guiteras (Podemos).

Guiteras recomendó al Presidente que ordene a los cocaleros abandonar el área para "dar una buena señal de su discurso indígena; mientras tanto los benianos vamos a seguir pensando que es él quién los envía".

 

 

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31 octobre 2009 6 31 /10 /octobre /2009 03:26
Les usines de Papelbol et Lactéosbol fonctionneront fin 2009
Papelbol y Lácteosbol funcionarán a fin de año
El gobierno boliviano busca que las dos firmas estratégicas que creó ofrezcan productos nuevos y con mejores costos para la población.
por AméricaEconomía.com

Papelbol y Lácteosol, dos empresas creadas por el gobierno boliviano, comenzarán a funcionar antes de que termine 2009, señaló el último martes el viceministro de Mediana, Gran Empresa e Industria, Eduardo Peinado.

Ces firmes sont deux des cinq firmes stratégiques créées par l'entourage du gouvernement et selon le fonctionnaire l'entreprise de papier sera l'une des plus importantes du pays car actuellement la Bolivie ne produit pas de papier.

Il s'agit de papier blanc pour les journaux, de papier kraft et de carton.

Las firmas son dos de las cinco firmas estratégicas creadas en el ámbito gubernamental, y según el funcionario la empresa de papel será una de las más importantes del país, ya que su producto actualmente no se produce en Bolivia. Se trata del papel blanco, para impresión de periódicos y kraft, para hacer cajas de cartón.

"Tanto Papelbol como Lácteosbol están en un período de prueba y durante ese período se adecúan las maquinarias y se subsanan algunas cosas que se necesiten, esto se lo hará hasta finales de este año y comenzarán a producir. Después de eso, entran en producción normal y en 2010 ya tendremos producción normal en ambas", dijo Peinado.

La capacidad instalada en Papelbol, ubicada en Villa Tunari, Cochabamba, alcanza para abastecer 70% del mercado nacional, y tiene capacidad para procesar 100 toneladas de papel por día.

La capacité de production que l'on installe à Villa Tunari, département de Cochabamba, suffit à couvrir 70% du marché bolivien et peut fabriquer 100 tonnes de papier par jour.

Por su parte, la empresa de procesamiento de lácteos Lácteosbol tiene tres plantas construidas que necesitan de obras complementarias adicionales para iniciar su actividad. Cada una puede procesar hasta 18 mil litros de leche por día.

De acuerdo con Peinado, con la firma "se podrá llegar con mejores costos, mejores oportunidades a ciertos mercados donde al sector privado no le interesa entrar", cita Hoy Bolivia.

Las primeras tres plantas, de las ocho que se pretenden instalar, están ubicas en Ibirgazama (Cochabamba), Achacachi (La Paz) y Challapata (Oruro).

 


“Va a generar empleo, movimiento económico y va a hacer conocer Villa Tunari más allá de lo turístico, pero a nivel medio ambiental traerá consecuencias”, opina el vicepresidente del Comité de Vigilancia de Villa Tunari, Darío Huanca.


Ajena a la controversia, Papelbol se yergue en El Castillo, aledaña al Parque Machía, con un tinglado de 152 metros de largo y 12 de alto, con capacidad para soportar 15 toneladas. A pocos pasos están dos tinglados que albergan la maquinaria de origen brasileño, cuya compra también fue cuestionada, supuestamente por no haber sido licitada.


Entre las preocupaciones del directorio del Comité de Vigilancia, está la contaminación del río Chapare con aguas residuales y tala masiva de especies forestales. Huanca señala que le “preocupa que los residuos sean botados al río

o si van a hacer cámaras receptoras, van a estar cerca al río y esto, a largo plazo, va a afectar”, señala.

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     FoBoMADe met en garde contre les dégats sur l'environnement dans la région du Chaparé

         Fobomade advierte de daño ambiental en el Chapare

  Le forum bolivien sur l'environnement a prévenu le gouvernement que la décision de construire une usine à papier en plein tropique est un vrai non-sens étant donné l'impact environnemental que cela provoquera dans la région

El Foro Boliviano sobre Medio Ambiente y Desarrollo (Fobomade) advirtió al Gobierno que la decisión de construir una fábrica de papel en pleno trópico es un desatino debido al impacto ambiental que ocasionará al área.

A través de un boletín, la organización no gubernamental reconoce que es importante que en Bolivia se fabrique papel y se evite importar; “sin embargo, es un desatino construir esta fábrica en el Chapare que es una de las zonas de más alta biodiversidad del planeta”, especifica la nota.

Fobomade explica que los químicos que se usan contaminarán los ríos de la región al igual que el suelo y provocarán daños irreversibles a la fauna y flora.

En contraparte los representantes de las fábricas de papel, cartón y de lácteos manifestaron que cada planta cuenta con áreas de tratamiento de aguas y que en el caso de Papelbol “el líquido es reciclado y cuando va al río está libre de cualquier químico”, aseguró el gerente de Producción de la empresa, Julio Quesada.

"Pour ne pas détruire la riche biodiversité du Chaparé, cette usine devrait être construite dans les vallées sèches de Cochabamba, où il existe d'ailleurs des plantations d'eucaliptus qui ont une croissance rapide et qui peut être utilisée comme matière première" déclare le communiqué de l'Organisation Non Gouvernementale.

“Para no destruir la rica biodiversidad del Chapare, esta fábrica debería ser construida en los valles secos de Cochabamba, donde además existen plantaciones de eucaliptos que son de rápido crecimiento y se pueden utilizar como materia prima”, manifiesta el comunicado de la organización no gubernamental.

Respecto a la competencia que significará la producción de derivados de leche en tres plantas, el gerente comercial de la empresa PIL Andina, Tito Orellana, celebró la creación de Lacteosbol y que sea del Estado, pero pidió que la competencia sea sana y con las mismas reglas.

“Es importante que sea una competencia sana y que todos trabajemos bajo las mismas reglas de juego. Es decir que todas las empresas cumplamos con nuestras obligaciones tributarias. Además será sano incentivar a que la población consuma más leche para dar seguridad alimentaria a la gente. Hay espacio para más empresas”, indicó.

Biodiversidad

Fauna y flora • Cerca de la fábrica de papel se encuentra el parque Machía, albergue de animales rescatados.

Fluvial • El río Espíritu Santo es el principal afluente de la zona y es el hábitat de una rica variedad de peces.

 

 

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L’usine Papelbol n’a pas effectué les études préalables
Fábrica Papelbol no cuenta con estudio de factibilidad

04 de Noviembre de 2009, 04:02

La Paz - Bolivia.-

Le manque d’étude de faisabilité ainsi que l’achat non autorisé des machines ont provoqué des doutes sérieux sur la conduite du projet de l’Entreprise Publique Nationale Stratégique de papier de Bolivie (Papelbol), raison pour laquelle l’inspection des finances a démarré un audit, qui en est à l’étape d’évaluation. L’usine dont l’investissement se monte à 21 millions de dollars en est à 10% de travaux déjà effectués mais qui sont actuellement paralysés.

 La falta de un estudio de factibilidad y la compra de la maquinaria sin licitar, dejaron serias dudas sobre el manejo del proyecto de la Empresa Pública Nacional Estratégica de Papeles de Bolivia (Papelbol), por lo que la Contraloría inició una auditoria, que se encuentra en etapa de evaluación. La fábrica cuya inversión asciende a 21 millones de dólares, se encuentra en un 10% de avance en sus obras, las mismas que a la fecha están paralizadas.

 

Las presuntas irregularidades, pese a las investigaciones y a la auditoria realizadas, sobre la compra de maquinaria sin licitación a un costo de 162.3 millones de bolivianos, continúa sin resolver, mientras fuentes oficiales afirman que se vieron las mejores ofertas.

 

De la même manière, le manque d’études de faisabilité de l’usine à papier, de ses débouchés potentiels et surtout le recours à une matière première qui n’affecterait pas l’environnement restent des questions en suspens.

Asimismo, está sin resolver la falta del estudio de factibilidad de la empresa de papel, de mercados potenciales y, principalmente, el uso de la materia prima que no afecte el medio ambiente.


Une analyse technique sur les effets pouvant être générés par l'usine à papier  avait été réalisée il y a un moment: On peut y lire que SEULE LA MAIRIE DE VILLA TUNARI AVAIT DELIVRE UNE FICHE DE RESPECT DE L'ENVIRONNEMENT, alors même que dans les produits utilisés on trouve différents éléments toxiques y compris de l'acide sulfurique.

Hace un tiempo se habría realizado un análisis técnico de los efectos que podría generar la fábrica de papel, donde se menciona que sólo el municipio de Villa Tunari  habría entregado la ficha ambiental, pese a que dentro los reactivos a utilizar se encuentran varios elementos tóxicos e incluso el ácido Sulfúrico (precursor).

 

Según datos de la fábrica se utilizará como materia prima papeles reciclados de toda variedad, considerando la demanda, en estricto apego a las normas medioambientales internacionales. “El país gasta alrededor de 55 millones de dólares al importar papel y con la producción de la empresa boliviana, se pretende cubrir entre un 60 y un 70 por ciento de esta demanda”.

 L'Etat veut installer l'usine à papier dans la région tropicale du département de Cochabamba pour rester dans les bonnes grâces de la population de planteurs de coca.

Outre la production, l'Etat prendra en charge la commercialisation sur le marché national bolivien.

El Estado pretende instalar la fábrica de papel en el Trópico de Cochabamba, para congraciarse con el sector cocalero. Además de producir, se encargará de comercializar en el mercado interno.

 

Las grandes importadoras de papel apoyan la instalación de la fábrica de papel, siempre y cuando, sea competitiva en cuanto a la calidad y precios.

                                                          ______________________________________

CELULOSA Y PAPEL RECICLADO

 

La celulosa o pulpa es la materia prima para la fabricación del papel y se obtiene de la trituración de los árboles y de la mezcla de ésta con componentes químicos.

Esta materia es introducida a un digestor, donde las astillas son cocidas a una alta temperatura y presión, con una sustancia denominada licor blanco (solución compuesta por sulfuro de sodio e hidróxido de sodio). En la medida que las astillas avanzan hacia la parte baja de esta máquina se van transformando en pasta de celulosa.

En la cocción, además de esta mezcla se genera un residuo denominado licor negro, que está compuesto por el licor blanco mezclado con la lignina (capa del árbol) y otras sustancias de la madera, que luego es procesado en otra área de la fábrica.

Con esta materia prima ya es posible fabricar el papel. Sin embargo para que adquiera el tono blanco se le deben agregar diferentes productos químicos, como el dióxido de cloro, el oxígeno y el peróxido de hidrógeno (H2O2-agua oxigenada)

 

La construcción de la Empresa Nacional Estratégica de Bolivia (Papelbol), creada mediante Decreto Supremo, se encuentra ubicada a orillas del río Chapare, colindante con el puente Alfonso Gumucio Reyes.


L'investissement est financé par le Trésor Public

La compagnie brésilienne d'Aandrea grimport prendra en charge la  fourniture et l'installation des machines-outil ainsi que la formation du personnel, selon l'engagement pris auprès du représentant de cette entreprise, Roberto Falasene.

La inversión es financiada por el Tesoro General de la Nación (TGN).

La compañía brasileña D’andrea Agrimport tendrá a su cargo la provisión e instalación de la maquinaria, así como la capacitación del personal. Según lo comprometido por el representante de esta empresa, Roberto Falasene.

 

Según datos del Ministerio de Producción y Microempresa, el proyecto para la planta contempla la instalación de dos sub plantas, que funcionarán en cadena. La primera frabricará celulosa o pulpa (materia prima para la elaboración del papel). Este material será suministrado a una segunda infraestructura que procesará los pliegos.

 

El proyecto inicial estimaba que el primer año habría una producción de 3.780 toneladas de material para periódico; 2.835 toneladas de papel de embalaje y 2.835 toneladas de papel escritura.

 

También será implementado un sistema para la producción a partir del reciclaje. Según datos del proyecto, existe una generación de papel en desuso de 78,8 toneladas por día en cuatro ciudades principales: La Paz, El Alto, Cochabamba y Santa Cruz, con lo que se podría tener un producto terminado de hasta 100 toneladas.
El Diario

 


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30 octobre 2009 5 30 /10 /octobre /2009 22:37

 

       TIPNIS = Territorio Indígena Parque Nacional Isiboro-Sécure

arbre-tipnis.jpg

Ubicado entre los Departamentos del Beni (provincia de Moxos) y de Cochabamba (provincia Chapare). Los municipios involucrados son San Ignacio de Moxos y Loreto en el Beni, y Villa Tunari y Morochata en Cochabamba. Tiene una superficie aproximada de 12.000 km2.
Desde 1990, tiene el doble estatus de Área protegida y territorio Comunitario de Origen (TCO).
Colinda con otras TCOs: Yuracaré y Yuqui al Este, Territorio Indígena Chimán y Territorio Indígena Multiétnico al Norte y es vecino a la TCO Mosetén al Oeste.

carte-langue-tipnis.jpg
Ocupación humana

 

En el TIPNIS existen 4 grupos culturales asentados: los tres primeros - yuracarés, mojeños y chimanes - son originarios de la región, y el último, colonos del Altiplano, ha iniciado sus asentamientos en la segunda mitad del último siglo.

Según el censo realizado en 1993, en el TIPNIS vivían 4.563 indígenas, que han podido fluctuar hasta la fecha, debido a características propias de estos grupos sociales con respecto a sus prácticas de migración.                                                                              

 La población colona de acuerdo a un dato de 1994, era en ese momento de 9.758 personas. .


indios-yuracares2.jpgLos yuracarés son un grupo étnico que ocupó históricamente la zona del TIPNIS y otras áreas aledañas. En la actualidad están en casi todo el TIPNIS, salvo la zona central, en general su ocupación se limita a la zona sur y al bajo Isiboro y Sécure.

Les yuracarés sont un groupe etnique qui a occupé historiquement toute la zone de l'actuel TIPNIS ainsi que d'autres aires limitrophes. De nos jours on les trouve dans l'ensemble du parc sauf dans la zone centrale. Mais pour la plupart la zone qu'ils occupent se limite à la zone sud du parc  et vers le bas des fleuves Isiboro et Sécouré.

indio-moxeno.jpg

Los moxeños históricamente ocuparon un sector mucho menor que el primer grupo, circunscribiéndose al área de confluencia de los ríos principales, hoy día su rango de ocupación es mayor, incorporando el área central del TIPNIS y gran parte de la Zona Sur, la cual no formaba parte de sus asentamientos históricos que se limitaba al área de pampas benianas, su estrategia de ocupación produce una estructura parecida a la de las misiones jesuíticas.

Les moxenos ont occupé historiquement un secteur bien moindre que le premier groupe, leur aire d'occupation étant limitée à la zone de confluence des deux principaux fleuves. Aujourd'ui la zone qu'ils occupent est plus vaste, elle incorpore l'aire centrale du parc TIPNIS et une grande partie de sa région sud, qui ne dafisait pas partie de leur occupation historique qui se limitait aux pampas de la province du Béni. Leur stratégie d'occupation géographique se fait selon une structure semblable à celle des missions jésuites.

indios-chimanes.jpg


El grupo chimán tiene una distribución espacial que abarca una parte del sur del departamento del Beni, en el TIPNIS el área de ocupación es el pie de monte y serranía en el alto Sécure, solo en los últimos años se han ido asentando en Santo Domingo, una zona enteramente moxeña.

Le groupe Chiman a une distribution spaciale qui comprend une partie du sud du département du Béni, dans le parc TIPNIS leur aire d'occupation correspond à la limite des montagnes dans le haut Sécuré, il n'y a que depuis quelques années qu'ils ont commencé à s'installer à Santo Domingo, une zone qui n'était occupée que par des moxenos.


El grupo colono tuvo presencia en el TIPNIS a partir de la década de los años sesenta.

Le groupe des colons est .apparu dans le TIPNIS à partir des années soixante

cocalera-tipnis.jpgL'ouverture de voies d'accès a permis de commencer un processus de colonisation dans les années soixante, mais c'est au cours des années quatre vingt que se produisent les principales installations, provoquées probablement par le processus de re-localisation des mineurs, par les débuts et l'apogée dunarcotrafic, et par l'ouverture de la route Cochabamba-Santa Cruz.

La apertura de vías de acceso permitió incrementar el proceso de colonización durante la década de los setenta, pero es en los años ochenta que se producen los mayores asentamientos, probablemente movidos por el proceso de relocalización de los trabajadores mineros, de incremento y auge del narcotráfico y la apertura de la carretera. Cochabamba - Santa Cruz

>>> El origen de los grupos colonos es andino (aymara y quechua), provenientes de diferentes lugares, como Cochabamba, Oruro, Potosí y La Paz.

L'origine des groupes de colons est la cordillère des Andes, ce sont des aymaras et des quechuas provenant de différents lieux comme les départements de Cochabamba, Oruro, Potosí y La Paz.indios-chimanes3.jpg


                                          Contexto cultural, político y social


En règle générale les indigènes du TIPNIS ont été en interaction depuis des siècles avec la société extérieure.

En general los pueblos indígenas del TIPNIS han estado en interacción hace siglos con la sociedad externa.


   - En el caso de los moxeños existe una práctica organizativa y socioeconómica marcada por su relación con las misiones jesuíticas y una tradición relacionada con la migración consistente en la búsqueda de la “loma santa”.

    - En cambio los yuracarés se caracterizaron por huir y evadir el contacto con las misiones y la sociedad externa.

Un aspecto muy interesante son los procesos de organización socio-política que en la actualidad han tenido que asumir los tres pueblos, aún débiles entre los chimanes y los yuracarés.                                                    

      Las relaciones interétnicas en el TIPNIS, no siempre han sido pacíficas y armónicas, existiendo marcadas diferencias entre los tres pueblos.

 

Si bien en los últimos 10 años se han dado fuertes relaciones interétnicas, a través de matrimonios mixtos, incluyendo a los grupos colonos andinos o “collas”, las relaciones en general continúan siendo problemáticas debido a la discriminación de un pueblo indígena hacia otro y el hecho mayor que los matrimonios entre colonos e indígenas implican un choque entre culturas y practicas productivas muy diferentes .

indios-yuracares.jpgLos moxeños resultan ser el grupo dominante, seguidos por los yuracaré y finalmente los chimanes. Los cuales son considerados como “menos civilizados” por los primeros, lo cual denota la incorporación de conceptos como civilización y modernización, probablemente por su mayor interacción con el mundo occidental.

-Los indígenas se organizan a partir de familias.

Los chimanes tienen una estructura clánica, a diferencia de los moxeños que tienen familias nucleares. Los yuracarés se organizan en torno a la “familia grande”, que puede ser una sola familia extensa o varias familias nucleares con parentesco.


-Los colonos se organizan en su turno a partir de sindicatos, bajo el modelo occidental de las organizaciones sociales europeas del siglo XX.

_______________________________________

En el TIPNIS existen tres organizaciones indígenas:

* Subcentral Indígena del Isiboro Sécure (SCIIS), que teóricamente representa a toda el área,

* el CONISUR (Consejo Indígena del Sur) apoyado por la mayoría de las comunidades del sur y

* la Subcentral Sécure que representa a las comunidades a lo largo del río Sécure

La actualidad organizativa en el TIPNIS es conflictiva, de hecho la creación de la Subcentral Sécure y del CONISUR se debe a divisiones dentro de la SCIIS. Entre otras debilidades, existe poca claridad en su visión y objetivos político-organizativos, limitaciones en sus capacidades de convocatoria, un incipiente relacionamiento con los sindicatos colonos y un escaso relacionamiento e intercambio con entidades del Estado (especialmente prefecturas y gobiernos municipales).

                                     santa-maria-tipnis.jpg

  Infraestructura de salud y servicios

El desarrollo y acceso a necesidades básicas en el TIPNIS son muy bajos, de hecho, el municipio de Moxos es el que tiene el nivel más bajo en el Departamento del Beni. Su tasa de analfabetismo es del 60% con una escolaridad muy baja debido a que la oferta en escuelas es hasta tercero de primaria, con una marcada diferencia entre hombres y mujeres. Con respecto a la existencia de escuelas, se cuenta con una en cada comunidad pero con una oferta escolar limitada y escasa educación bilingüe (solo en español), cuando en algunos casos (chimanes) el 56% habla español aparte de su idioma nativo.

tipnis-ninos-hacia-la-escuela.jpg

En cuanto a salud, los servicios son escasos, solamente se tienen responsables de salud en tres comunidades y posta sanitaria en cinco.

En el TIPNIS la participación popular no ha llegado, salvo en la parte sur controlada por los grupos colonos, que mantienen el poder en el gobierno municipal de Villa Tunari y que han logrado que se haga inversión social con mucho énfasis en las zonas rurales desatendidas.

 El conflicto limítrofe entre Beni y Cochabamba, ha llevado sobre todo a la Prefectura de Cochabamba a una estrategia prebendalista de inversiones en la zona del TIPNIS.

Sin embargo, la posición asumida por la Subcentral de no negociar con Cochabamba, la ha aislado de posibles beneficios y ha logrado que el interlocutor con esta prefectura sea la CONISUR, la cual ha canalizado las inversiones estatales en la parte sur del área protegida.

Con respecto a las autoridades gubernamentales del Beni (prefectura y municipio de Moxos), la atención recibida ha sido casi nula, con la excepción de la prefectura que ha apoyado el proceso de saneamiento .

rio-isiboro-tipnis.jpgfoto = RIO ISIBORO


                                                                  Actitud local frente al área protegida

Las comunidades indígenas consideran como una necesidad su alianza con el SERNAP, frente a sectores identificados como amenazas (colonos, ganaderos, madereros y petroleros).

Ven a la conservación como algo importante por su tradición de convivir con la naturaleza de manera sostenible.por-encima-del-isiboro.jpg

Existe una actitud proactiva de los dirigentes indígenas para la mejora de las relaciones con respecto a la gestión del área protegida, con la revisión del proceso de administración admitiendo errores de su organización, intentando mejorar la credibilidad de la SCIIS y compartir responsabilidades con la dirección del área protegida .

La falta de regulaciones para las áreas con doble categoría, es un tema que preocupa a la SCIIS, sobre todo referido al acceso económico a los recursos naturales, considerando controles y revocatorias de la administración del área a acuerdos de indígenas con sectores privados.


Más allá de la actitud local, las aspiraciones regionales se centran en la construcción del camino San Ignacio de Moxos - Villa Tunari, por un lado el argumento de abrir accesos a nuevos mercados y por el otro el interés de grupos madereros y petroleros de acceder a los recursos del TIPNIS.

Con respecto a los grupos colonizadores, se tiene una mejor relación aunque no se ha logrado alcanzar una planificación participativa ni una zonificación concertada .

  con-indigenas.jpg

El relacionamiento con los pobladores locales es parte integrante del trabajo del cuerpo de protección. Foto: SP

                                            Coordinación política, administrativa y territorial

Con relación a los gobiernos municipales, la situación es muy contrastada entre el norte y el sur del área:

                                                 a) Municipio de San Ignacio de Moxos

El municipio tradicionalmente ha dado poca importancia al TIPNIS en su gestión, ignorando las limitaciones potenciales que el área protegida establece en su Plan de Desarrollo Municipal (PDM), y despreciando la oportunidad que representa el parque como fuente de ingresos. Por lo tanto no se han efectuado inversiones por parte de esta alcaldía en el área protegida .

Un aspecto que podría mejorar esta situación, es el origen indígena del nuevo alcalde, y ya se observan señales concretas en una Ordenanza Municipal y en el propio PDM de que el TIPNIS fue declarado como Distrito Municipal indígena, situación legal consolidada, que en adelante debe operativizarse. A pesar de este avance, la estructura del poder político en el municipio de San Ignacio de Moxos y el departamento del Beni en general, históricamente en manos de oligarquías locales en contraposición tanto con las reivindicaciones indígenas como las iniciativas nacionales de conservación de la naturaleza, puede limitar los alcances de las intenciones del alcalde indígena.

                                                    b) Villa Tunari

El municipio de Villa Tunari, en el sur, ha tenido por su parte un gasto público importante en la zona sur del TIPNIS, debido a la injerencia y poder de decisión de los sectores colonos del área protegida en el gobierno municipal.

De hecho, el alcalde de Villa Tunari ha expresado su interés por participar en la gestión del TIPNIS, condicionando las prioridades de inversión del municipio a su involucramiento. No obstante, el alcalde apoya la construcción del camino Villa Tunari - San Ignacio y según la dirección del área protegida, la extracción de madera y los cultivos de coca.

                                                     c)  Con relación a las Prefecturas, los principales intereses respecto al TIPNIS se centran en el problema limítrofe departamental, la construcción del camino arriba mencionado y el acceso a los recursos naturales, en desmedro de la vocación primaria del área protegida.

Estos intereses han llevado a estas entidades a tener un accionar prebendal con el afán de atraer el apoyo de las poblaciones locales, de hecho se inició un proyecto denominado “Programa de Apoyo a los Pueblos y Comunidades Indígenas del Trópico de Cochabamba” (PAPCITC), desarrollando actividades en salud, educación y producción sostenible. Este programa ha estado trabajando en el TIPNIS con comunidades indígenas previendo la elaboración de planes de manejo de recursos naturales, sin haber coordinado con el equipo de gestión del área protegida ni con los municipios .

                                                 Participación

Con relación al Comité de Gestión, no ha logrado constituirse debido a complejos problemas no resueltos, como la indefinición de límites interdepartamentales que contrapone a los municipios y prefecturas, y por otra parte las pugnas territoriales entre indígenas y colonos. No obstante, se han logrado mecanismos parciales de participación y coordinación, que por ahora son desarrolladas sector por sector.

Entre estos está la identificación de actores planteada por la administración del área protegida:

- La Subcentral Indígena del Isiboro Sécure (SCIIS);                                                                                       

- La Coordinadora del Colonos del Trópico de Cochabamba;                                                                       

- La Subcentral Sécure;                                                                                                                                    

- El Consejo Regional del Sur (CONISUR);                                                                                                          

  - Autoridades departamentales del Beni;                                                                                                                

- Autoridades departamentales de Cochabamba;                                                                                                   

- Autoridades municipales de San Ignacio de Moxos y Villa Tunari;                                                                  

- Instituciones locales que realizan actividades en el TIPNIS como ser, la Pastoral Indígena, EPARU, CEJIS, CETEFOR, PRAEDAC.

Si bien no existe una coordinadora interinstitucional conformada por el SERNAP, está la coordinadora de instituciones que trabajan en el TIPNIS, liderada por la Pastoral Indígena, que se constituye en una plataforma de participación y mecanismo para la resolución de conflictos. En esta instancia participan la Subcentral del TIPNIS, EPARU, CEJIS, la Pastoral Indígena, el SERNAP, la Superintendencia Forestal y en algunos casos se invita a las autoridades departamentales .


                           Actividades económicas y uso de recursos naturales

La economía y sostén de vida de las comunidades del TIPNIS está basada en el aprovechamiento de los recursos naturales: caza, pesca, recolección de no maderables, extracción de madera, agricultura y ganadería son las principales actividades. Complementarias a las estrategias de sobrevivencia están otras actividades como el trabajo asalariado para la compra de algunos víveres y medicamentos y la venta de artesanías.

                                    a) Caza y pescatipnis-en-piragua.jpg

En cuanto a la actividad de caza, los pueblos más ligados a esta práctica son los chimanes y yuracarés, mientras que el poco conocimiento que tienen los moxeños del bosque los hace menos eficientes e interesados en esta actividad.                                                                                                  

Los colonos practican por su parte una caza muy oportunista y de control de cultivos, pero no es una actividad principal. Las presas más comunes, son grandes y medianos vertebrados, que se han visto disminuidos o desaparecidos en ciertas zonas del TIPNIS .tipnis-p-che---l-arc.jpg

La pesca tiene mayor importancia por su abundancia en el alto Sécure, el alto Isiboro y la zona central del área protegida. En cuanto al uso que cada grupo hace de este recurso se observa que para los chimanes, los peces aportan la mayor parte de las proteínas de la dieta; para los yuracaré tradicionalmente la pesca ha sido una actividad de menor importancia que la cacería, pero en la actualidad es lo contrario, posiblemente por una relación demográfica entre poblaciones silvestres (vertebrados sujetos a cacería) y de personas (el número de usuarios ahora es mucho mayor y las poblaciones silvestres han disminuido)

.                                                                    

Los colonos practican muy poco la pesca debido a que los ríos tienen poca abundancia de peces y se han registrado denuncias de sus prácticas de pesca con dinamita.


                                

   b) Actividades agropecuarias

La agricultura es una actividad presente en cada grupo social del TIPNIS.

Para los chimanes tiene alta importancia, por lo que cuentan con un alto conocimiento ecológico sobre esta práctica siendo la más sostenible. Sin embargo, en los últimos años la tasa de desbosque se ha incrementado, provocada por una mayor interacción con mercados externos. Los productos más importantes son la yuca, piña y caña de azúcar. Para los yuracaré, la agricultura ha tenido menor importancia no obstante en las últimas décadas se ha incrementado al punto de presentarse problemas de disponibilidad de tierra, con lo que se ha intentado aumentar la productividad en el corto plazo y se ha producido un efecto contrario con la pérdida de nutrientes en los suelos. Los moxeños le dan una importancia media a la agricultura, tienen bajos rendimientos probablemente ocasionados por el poco conocimiento sobre esta práctica y a la vez son poco sostenibles en su aplicación.                                                                                                                             

   Para los colonos, la agricultura es la actividad de mayor importancia, intensiva y no sostenible, tienen alta densidad de productores, poca disponibilidad de tierra y escasos conocimientos técnicos, su sistema está basado en la práctica de roza, tumba y quema hasta el agotamiento de la parcela y la posterior migración a otro espacio boscoso; los principales productos son arroz, cítricos y coca.

La ganadería entre los chimanes no es de mayor importancia y solo de animales menores que solo son criados para su comercialización por ser considerados sucios para su consumo. Para los yuracarés la ganadería es importante en términos económicos, criando animales menores y chanchos que son comercializados con mercados externos. Con relación a los moxeños, la actividad ganadera es la más importante, siendo en la mayoría de las familias la fuente más importante de intercambio comercial. Para los colonos la actividad pecuaria es de baja productividad y con un manejo deficiente.

                                                               c) Otros

La recolección de productos no maderables del bosque ocupa un lugar vigente en la dinámica de los habitantes del TIPNIS. Para los chimanes, la recolección es muy importante ya que constituye una fuente de ingresos y alimentación. Para los yuracarés, la recolección nunca ha sido una actividad importante, y en la actualidad es menor aún. Sobre los moxeños y colonos no se tiene información detallada con relación a esta actividad.

Con relación a la actividad forestal, en el pasado los indígenas del TIPNIS permitieron explotación maderera bajo presión de empresas. En la parte sur del área, el aprovechamiento maderero se debe mayormente a la población colona, sobre todo cuando se incrementaron las actividades de erradicación de la coca .

Otras actividades comerciales complementarias son la venta de mano de obra a estancieros y colonos que los emplean para actividades de desmonte o como peones asalariados. También se conoce que se hace producción y comercio de artesanías.

En general los ingresos por rubro no sobrepasan los 2.000 bolivianos (US$ 220) por año y por familia, lo que demuestra que muchas necesidades no pueden ser cubiertas y que se tienen índices de pobreza muy elevados.

                                                   d) Proyectos de desarrollo

Los proyectos de desarrollo más importantes relacionados al TIPNIS son la construcción de la carretera San Ignacio de Moxos - Villa Tunari (Beni - Cochabamba) y los programas de desarrollo alternativos impulsados por el gobierno para la erradicación de los cultivos de coca, temas importantes que se desarrollan con mayor detalle en la sección de amenazas del presente documento.  

                                                                               TURISMO

La actividad turística en el TIPNIS es mínima debido a varios factores, desde la dificultad de acceso, la falta de promoción, servicios e infraestructura, a una inestabilidad social que se traduce en falta de seguridad para los visitantes.

No obstante, en el pasado se hicieron algunas inversiones en infraestructura en el parque: la ONG CIDEBENI construyó algunas cabañas en La Asunta, pero que nunca fueron utilizadas debido a una serie de vacíos que no se resolvieron para asegurar un mínimo éxito En la actualidad se cuenta con un diagnóstico y un plan estratégico, sin embargo las proyecciones y posibilidades son muy limitadas 

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foto = RIO SECURE

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El TIPNIS se encuentra ubicado en una zona altamente conflictiva, caracterizada por una parte por la confluencia de actividades e intereses de baja o ninguna compatibilidad con la conservación, como la actividad agropecuaria, la minería, la extracción petrolera y por otra parte por la existencia de un escenario sociopolítico y económico muy complejo, donde se dan movimientos sociales importantes y problemáticas de trascendencia nacional como la producción y el tráfico de hoja de coca para el narcotráfico.

El TIPNIS cuenta con una superficie de 1.200.000 hectáreas, de las cuales un 71 % está sujeta a acciones antrópicas, clasificadas en diferentes tipos de amenazas y a diversas magnitudes, situación que puede poner en grave riesgo la viabilidad ecológica del área protegida, si los usos que se realizan no son sostenibles.

Según un trabajo realizado por Saavedra y Daza en 2004 con información recogida del conocimiento del cuerpo de guardaparques se obtuvieron los siguientes datos de amenazas en el TIPNIS :

Aparte de las amenazas que se identifican como presiones concretas y palpables como acciones destructivas del medio, existen otras potenciales y un tercer grupo que se constituye por los problemas que generan todo un ambiente de riesgo y dificultad de gestión y son de orden sociopolítico principalmente.

               Las amenazas y conflictos más importantes en el TIPNIS son:

- PRESIONES: Extracción forestal   /  Actividades agropecuarias  /  Caza y pesca

- AMENAZAS:  Construcción de la carretera Villa Tunari - San Ignacio de Moxos   /   Actividades petroleras   /  Conflictos sociopolíticos y debilidades de gestión

 Extracción forestal   El problema de la tala ilegal en el TIPNIS se relaciona con dos principales grupos de actores:

- Por un lado están los cuartoneros (piratas madereros operando con motosierras y por lo general sin vehículos), con intensidad baja a regular. El comienzo de la actividad de cuartoneo, en 2001, coincide con las primeras operaciones de erradicación de cultivos de coca en la región.

Las especies más buscadas son, mara (Swietenia macrophylla), trompillo (Guarea sp.), cedro (Cedrela sp.), gabú (Virola flexuosa) y almendrillo (Dipteryx odorata), y la zona afectada ocupa aproximadamente una franja de 5 km alrededor del río Isíboro y de los caminos. Los otros sitios están protegidos por su poca accesibilidad.

En ocasiones el cuerpo de protección del área protegida efectúa decomisos de madera y generalmente el producto es entregado a las comunidades indígenas para que se le aplique un uso colectivo y doméstico, en las actividades de guardianía, se recibe apoyo de los vecinos de las comunidades y su dirigencia para imponer castigos a los infractores. Asimismo, se emiten autorizaciones para el corte de algunos árboles para el beneficio colectivo y uso social, a través de una decisión de la SCIIS, de hecho y con la misma lógica de control social, se están elaborando planes de manejo forestal con la organización Jatun Sacha.

-          Por otro lado existe un grave conflicto con las empresas madereras Fátima y Suto. Estas empresas, que operan desde hace varios años a unos kilómetros del límite norte del área protegida, ingresaron en 2002 en el interior del parque de manera ilegal, abriendo caminos con maquinaria pesada, con el aval de una parte de las comunidades indígenas que pertenecen a la nueva Subcentral Sécure, alejada de la SCIIS.                                                                                                 

Las posibilidades de repeler esta incursión maderera por parte del SERNAP como de la SCIIS, se vieron limitadas debido a que se contaba con la presión de alguna dirigencia indígena a la cabeza de la Subcentral Sécure vinculadas a un Viceministro (Marcial Fabricano) y el hecho que la empresa Fátima era de propiedad de un Senador de la República (Miguel Majluf).

Como antecedentes, se tiene información de que en la TCO Chimán (noroeste del TIPNIS), donde la empresa Fátima tiene una concesión forestal, se encontraron impactos importantes sobre el bosque. No obstante, cabe señalar que los principales impactos de este tipo de tala selectiva se relacionan más con actividades paralelas al aprovechamiento maderero y a las consecuencias indirectas de la apertura de una red caminera que con el propio corte de árboles (3)

En el TIPNIS, la pesca practicada por los obreros madereros ha perjudicado por un lado una iniciativa de pesca deportiva en la laguna San Lorenzo, la cual empezaba a tener actividad turística, y por el otro ha creado un ambiente de hostilidad e inestabilidad a la gestión, poniendo a dos Subcentrales indígenas (la del Sécure y la de San Lorenzo) en contra de la administración del área protegida.   -


Durante el período donde los Srs. Fabricano y Majluf se encontraban ocupando la función pública, se constituyó una nueva organización indígena ( la Subcentral Sécure) constituida por las comunidades favorables al aprovechamiento maderero, se desalojó a los guardaparques de toda la zona norte del área protegida a través de métodos violentos, se extrajo madera del TIPNIS y se abrieron caminos ilegales. La entonces dirección ejecutiva del SERNAP, a cargo del Sr. Julio Maldonado se encontraba curiosamente desarticulando todo esfuerzo de defensa del área protegida intentando alejar al director del TIPNIS y manteniendo vinculaciones con los grupos de agresores al área protegida, situación que solo logró ser controlada a través de la presión social ejercida por la SCIIS.   Actualmente, la dirección del área protegida está siguiendo un proceso judicial a algunas de las personas involucradas en estos hechos.


                       Reseña histórica del problema maderero en el TIPNIS

-          1990: Se realiza una marcha de los indígenas desde el Beni a la ciudad de La Paz, en la oportunidad el gobierno dialoga con las organizaciones indígenas y entre los logros se encuentra el reconocimiento del TIPNIS como Territorio Indígena. El D.S. de 1990 amplia los límites del Parque Nacional y del nuevo Territorio Indígena, pero no define límites claros.

-          1997- 1998: Una vez conformada la Subcentral Isiboro Sécure, la Superintendencia Forestal otorga concesiones forestales dentro del parque (en la parte nor-oeste) a dos empresas (las dos otras que operan en el área aparte de Fátima).

-          - 1998: Los dirigentes de la Subcentral expulsan a las empresas madereras. Los árboles caídos se quedan en el Parque, sin uso.

El yerno del alcalde de San Ignacio de Moxos entra a cortar mara en La Asunta. El SERNAP logra parar esta incursión, pero los ex-dirigentes de la Subcentral (expulsados en 1998, entre los cuales está Marcial Fabricano) empiezan a enviar notas a los diferentes ministerios, prefecturas y vice-ministerios para aprovechar la madera tumbada y reembolsar sus deudas a los madereros.

Los dirigentes del TIPNIS, en encuentros de corregidores, deciden que se autodestruya la madera dentro del Parque.

-          2001: Formación de la Subcentral Sécure. En base a una decisión tomada durante un otro encuentro de corregidores entre las dos subcentrales, los mismos dirigentes logran luego convencer al SERNAP y el MAPZA que se haga un estudio técnico y social para el aprovechamiento de la madera.

Se hace un estudio de factibilidad y un análisis del estado de la madera. El resultado es positivo, estableciendo que todavía se puede vender la madera. Se identifica que la única vía legal para vender la madera es el remate. Se establece un primer acuerdo entre las dos subcentrales, pero al momento de firmar la carta de intenciones, la Subcentral Sécure se niega. Se emiten entonces dos convocatorias con precio mínimo, pero nadie se presenta. Finalmente se esta por organizar una convocatoria sin precio mínimo, cuando se inicia una resistencia desde el lado político.

-          2002: Marcial Fabricano accede al puesto de Vice-Ministro de Asuntos Campesinos, y mantiene una fuerte influencia sobre la Subcentral Sécure (mediante vínculos familiares entre otros). Entra Miguel Majluf, gerente de la empresa forestal Fátima, que ha trabajado durante años en la TCO Chimán.

-          - 2003: Varios decomisos y otras actividades de control desembocan en una reacción de parte de la Subcentral Sécure, bajo la influencia de Fátima. En agosto se expulsan los guardaparques de la Zona Norte y se cierra el acceso de este sector a la administración del AP. A finales de Octubre, el director se encuentra con el nuevo Prefecto del Beni para firmar un convenio donde se garantiza la adopción de medidas para una pronta resolución del conflicto.

-           - 2005: La madera ha sido vendida, Marcial Fabricano ya no ejerce el cargo político y el poder alcanzado por la Subcentral Sécure se ve netamente disminuido.

-           La administración del parque está trabajando en un nuevo acercamiento con las comunidades para reiniciar las actividades de manejo y protección en esta zona.



                                                            Actividades agropecuarias

 La actividad agropecuaria, es una de las prácticas humanas más nocivas para la conservación de los ecosistemas, sobre todo en ambientes boscosos tropicales donde se provoca una alteración casi completa del ecosistema original.

 En el TIPNIS existen tres diferentes tipos, la actividad ganadera que desbosca para establecer pastizales antrópicos, la agricultura itinerante practicada por algunos grupos indígenas, que se caracteriza por ser de baja escala y muy bajo impacto y finalmente la agricultura practicada con los colonos andinos de roza, tumba y quema, de mayor escala y alto impacto.

 En el caso de la ganadería de reemplazo, existen muy pocas propiedades ganaderas y el proceso de saneamiento parece haber puesto un límite a futuras expansiones, por lo que se constituye en una amenaza menor. Sin embargo, en los grupos moxeños y colonos hay una tendencia a pretender establecer o ampliar esta actividad económica. Por otra parte, la relación de la ganadería con los incendios pone en riesgo un área mayor que la circunscrita a la actividad.

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           Quema de pastizales en la pampa beniana. Foto: Jon Hornbuckle


Con relación a la agricultura colona, está se encuentra vinculada a la problemática de la coca y ello incrementa una característica político-social establecida y practicada por el campesinado boliviano de resistencia a observar las leyes y normas nacionales, sobre todo a las que regulan el acceso y uso de los recursos naturales. De hecho, la dirigencia de las Federaciones ha manifestado su rechazo a los procesos de saneamiento interno o de coordinación con la administración del área protegida.

La práctica de la agricultura de roza, tumba, quema y abandono después de un período productivo intensivo, no es sostenible, involucrando, fuera de la modificación del ecosistema, el empobrecimiento rápido de los suelos. Por lo tanto este tipo de agricultura si bien se realiza a pequeña escala y para fines de autoconsumo, es expansivo y deja tras de sí tierras pobres expuestas a erosión y con limitadas probabilidades de recuperaciónroza2.jpg. En el TIPNIS existen alrededor de 90.000 hectáreas (ocupadas por los colonos) susceptibles de ser utilizadas bajo estos métodos.

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La agricultura de roza, tumba y quema practicada por los colonos no se adecua a las condiciones de la zona.


Considerando el gran tamaño del TIPNIS y las limitadas oportunidades productivas con que cuentan las comunidades, la presión agropecuaria aún no es muy importante, sin embargo, su incremento en años recientes - en particular desde el inicio de las campañas de erradicación de la coca - y su paulatina incorporación a los mercados (desde hace unos años entran compradores a la zona colonizada del parque para llevar ganado a las ciudades), hacen del control de esta actividad un tema prioritario para la gestión del área.

Cabe también señalar que los sectores empresariales ganaderos del Beni (comités cívicos) constituyen una de las principales voces detrás del proyecto de construcción de un camino de Santo Domingo hasta el río Ichoa (que permitiría unir Cochabamba con el Beni).


                                                                            Caza y pesca

 La caza es una actividad importante en los grupos indígenas del TIPNIS, los cuales siempre han aprovechado la alta abundancia de animales en la zona, típica de ecosistemas abiertos como las sabanas inundables que cubren gran parte del área.

 Aunque no se tiene conocimiento preciso sobre los impactos de la actividad de cacería sobre las especies afectadas, la mayoría de los entrevistados concordaron en una reducción en la cantidad de animales de las especies más cazadasnecesidad de recorrer distancias siempre más largas para subvenir a sus necesidades alimenticias. (jochi, anta, taitetú) y la

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Otra temática relacionada a la actividad de caza, es la cosecha legal ilegal de saurios (caimanes y lagartos) para aprovechamiento de cueros: en Bolivia, hasta la década de los ochenta se practicó un tráfico ilegal y descontrolado de pieles de caimán. A partir de los noventa, cuando se promulgaron una serie de regulaciones sobre la biodiversidad, como la Ley de Medio Ambiente, y los decretos supremos de Veda General Indefinida; y se instaló una administración real sobre algunas áreas protegidas nacionales, aparentemente se dió un proceso de disminución de la presión sobre ciertas poblaciones silvestres, entre estas el lagarto (Caiman yacare) y el Caimán negro (Melanosuchus niger), que posibilitó un aumento de las poblaciones.

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Se autoriza el aprovechamiento del lagarto bajo planes de manejo. Foto: Lisa Davenport

Posteriormente, la presión política y social de diferentes sectores sociales, obligó al Estado a viabilizar el aprovechamiento del lagarto para su comercialización. En este marco se promulgó un instrumento legal que abrió la posibilidad de cosecha y definió cupos, pero se sustentaba en una base técnica débil y no logró conformar una plataforma gubernamental de control para fiscalizar la actividad. Estos elementos probablemente se encuentran produciendo un efecto devastador en las poblaciones de caimanes, considerando el enorme descontrol y la falta de criterios científicos durante las cosechas

En un primer momento, el SERNAP logró evitar que se autorice la cosecha de caimanes en áreas protegidas, pero por sus limitadas capacidades de control se efectuó también en estas áreas, incluso en el TIPNIS.

En vista de ello, la administración del TIPNIS decidió impulsar el aprovechamiento sostenible de caimanes con la elaboración de planes de manejo, que actualmente se encuentran en proceso de implementación.

No obstante, existen otros usuarios internos, en particular algunos propietarios de haciendas en la parte nororiental del parque, que pretenden aprovechar el recurso de forma ilegal y amparados en vinculaciones con autoridades de gobierno.

Por ejemplo, el dueño de la Estancia Todosantos (con pista de aterrizaje), hermano de un ex-prefecto del Beni, practica la caza de saurios fuera de los límites de su propiedad (ya saneada por el INRA). Otro estanciero, David Chiriqui, hermano del anterior alcalde de Trinidad, esta también implicado en la caza de saurios fuera de su propiedad, después de haber participado en la tala de madera (palo maría) y sido objeto de un decomiso por parte de la administración del área en el año 2000. En esta época amenazaba los comunarios de San Antonio para que no lo denunciaran ...

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                               Con relación a la pesca, que no es una actividad de mayor relevancia en el TIPNIS debido a la escasez de los recursos ictícolas en los ríos, se presentan problemas con el uso de técnicas muy dañinas y prohibidas como la pesca con dinamita y con barbasco, una poderosa toxina natural que actúa como un verdadero contaminante. Este problema se concentrar mayormente en la parte del río Isiboro comprendida entre la comunidad de San Miguelito y los centros poblados colonos Eterazama e Izinuta.

Se realiza también pesca comercial (con malla) de pacú (Colossoma macroponum), sábalo (Prochilodus nigricans) y surubí (Pseudoplatystoma sp.), principalmente por gente que viene del exterior del área protegida (Trinidad en el norte y Santa Rosa en el sur). El control de esta actividad es la razón por la reciente construcción del campamento Chipiriri en el encuentro del río Isiboro con el río del mismo nombre.

Considerando la presión de pesca, la administración del área protegida se encuentra apoyando y gestionando la elaboración e implementación de un Plan de Manejo Pesquero.


AMENAZAS  >  Construcción de la carretera Villa Tunari - San Ignacio de Moxos

La carretera Beni - Cochabamba, forma parte de la infraestructura vial que el Estado boliviano tiene prevista para lograr una red caminera principal adecuada. Sin embargo, el TIPNIS se encuentra entre los dos Departamentos, quedando en medio del área por donde una carretera tendría que atravesar para conectarlos.

En el TIPNIS existen dos proyectos camineros, San Ignacio de Moxos - Villa Tunari y Villa Tunari - Yucumo .

El tramo Villa Tunari - San Ignacio fue inicialmente abierto entre Puerto Patiño y San Antonio de Moleto por la empresa petrolera Gulf Oil Company. Posteriormente, en 1979, el Servicio Nacional de Caminos la rehabilitó. En 1990, Yacimientos Petrolíferos Fiscales Bolivianos (YPFB) abrió una senda a través del Parque hasta Oromomo, que luego volvió a cerrarse por desuso. En uno de los últimos gobiernos, la vinculación caminera era una política de Estado y de los cinco caminos proyectados quedaba Villa Tunari - San Ignacio de Moxos, firmándose en 2002, antes que se apruebe la zonificación del área, un Decreto Supremo autorizando su construcción.

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 En la actualidad el camino que entra al parque por el sur no tiene salida hacia el norte.

 Los principales impulsores de este proyecto han sido las Prefecturas de Beni como de Cochabamba, apoyadas por grupos políticos vinculados con intereses madereros, sectores que tienen el objetivo de acceder a nuevas tierras y actividades relacionadas al narcotráfico.

Pero por el momento (2005) no se cuenta con los recursos económicos necesarios.

La viabilidad del principal argumento utilizado para la promoción de este proyecto - la importancia de la carretera para la integración de las comunidades indígenas aisladas en la economía regional y la dinámica social - es dudable si se considera que la mayoría de las comunidades están asentadas en las orillas de los ríos Isiboro y Sécure, a distancia apreciable de los tramos propuestos .


Se ha hecho una nueva propuesta para la ubicación del camino, pero entre los grupos sociales locales relacionados al TIPNIS, los indígenas de la SCIIS están en desacuerdo con su construcción y ven el proyecto como una amenaza a su territorio, mientras los colonos están a favor de su construcción ya que ven la posibilidad de acceder a nuevas tierras, recursos naturales y mercados.

Según el Jefe de Protección de la Zona Sur: “si se abre el tramo Ichoa-Santo Domingo, la colonización de la parte norte del TIPNIS será inevitable, al igual que se aprovecharán las manchas de mara remanentes.

Por otra parte, el Servicio Nacional de Caminos (SNC), impulsa el proyecto vial sin tomar en cuenta la dimensión ambiental, ni siquiera cuando el SERNAP manifiesta su preocupación y exige que el proyecto cuente con una Licencia Ambiental (en cumplimiento con ley). Más aún, el SNC ha asumido una posición proactiva a la construcción y hostil hacia la conservación y sus defensores institucionales. Sólo una denuncia formal hecha por la dirección del área protegida logró incitar al SNC a iniciar el proceso técnico y trámite burocrático para obtener la Licencia Ambiental. Por ahora el proyecto está detenido y la Prefectura del Beni se ha propuesto terminar el saneamiento antes de avanzar en este tema.

Actividades petroleras

En la actualidad no existe actividad petrolera en el TIPNIS, sin embargo se han otorgado dos concesiones: el bloque Chapare a la empresa Pan Andean y el bloque Sécure a la empresa REPSOL .

En el pasado hubo actividades hidrocarburíferas tanto por la Gulf Oil Company que fue expulsada en 1969 de Bolivia, como por Yacimientos Petrolíferos Fiscales Bolivianos (YPFB).

En la provincia Chapare, operan cuatro compañías petroleras, que se reparten más de 2.057.875 hectáreas, superponiéndose los bloques a cualquier otro tipo de normativas, derechos y extensiones territoriales destinadas para otros fines, como las áreas protegidas .

Con relación a los actuales bloques otorgados, la REPSOL habría firmado un contrato con el Gobierno de Bolivia, mediante el cual la empresa adquiere el derecho de explotar hidrocarburos durante 30 años. El bloque Sécure comprende una superficie de 1.337.210 has que en un porcentaje importante se sobrepone al TIPNIS, vulnerando los objetivos de creación del área protegida. Pero dado que las operaciones hidrocarburíferas son consideradas por Ley como “prioridad nacional”, se sobreponen a los intereses ambientales.

La REPSOL inició sus actividades exploratorias cubriendo alrededor de 1.500 km de líneas sísmicas, la mayoría dentro del Parque Nacional. Durante las operaciones se generaron numerosos impactos que fueron denunciados por las organizaciones sociales de base, que en vista de los atropellos provocados por la empresa efectuaron un bloqueo de caminos y se declararon en estado de emergencia. A partir de este hecho de presión, se logró la firma de un convenio entre la empresa, los sectores indígenas, colonos y la dirección del área protegida para el cumplimiento de todas las medidas de mitigación, un proceso de monitoreo y la construcción de instalaciones como equipamiento para el cuerpo de guardaparques. En septiembre de 1998, la empresa REPSOL abandonó la zona, sin cumplir con los compromisos firmados y sin reponer los daños ambientales provocados, dejando impunes diferentes violaciones a la normativa ambiental nacional . 

  Mientras se mantienen vigentes las concesiones petroleras dentro del área permanece la amenaza de que alguna empresa vuelva a plantear, con apoyo de los gobiernos departamentales, un proyecto de exploración o explotación petrolífera.

                                          ______________________________________________________________________

                                           Conflictos sociopolíticos y debilidades de gestión

      -  Límites departamentales

El conflicto acerca de los límites departamentales tiene su origen en intereses de acceso a los recursos naturales de la región, principalmente a la posibilidad de encontrar y explotar yacimientos hidrocarburíferos en el subandino, donde se encuentra emplazado el TIPNIS .

Por otra parte, el problema se encuentra matizado por una rivalidad regional entre el oriente y occidente del país vigente desde la Reforma Agraria de 1952, por diferencias que incluyen aspectos tanto políticos como culturales, históricos, étnicos y financieros, y plasmado en la actualidad en la exigencia de autonomía del departamento de Santa Cruz.

El departamento del Beni considera suyo a todo el territorio del TIPNIS, mientras que Cochabamba considera que toda la mitad sur del TIPNIS es parte de su jurisdicción .

En cuanto a la percepción local, los grupos indígenas se sienten más identificados con el Beni y los colonos con Cochabamba. No obstante esta identificación de los primeros con el Beni, al final los indígenas, sobre todo yuracaré, tienen una actitud abierta y no mantienen una preferencia vertical. Estos conflictos limítrofes han llevado a las Prefecturas y los gobiernos municipales a entrar en un juego prebendal con relación a los habitantes del TIPNIS, que generalmente tiende a desestabilizar la gestión del SERNAP aunque pueda proporcionar beneficios.


-  Participación deficiente del sector colono

 Con respecto a la relación y percepción que tiene el sector colono sobre el área protegida, es importante notar que al inicio de la gestión, existía una falta total de información y un rechazo mayor a la existencia del parque. La actual situación muestra que desde ese entonces se ha logrado un cierto nivel de aceptación y conciencia de su existencia y voluntad para su reconocimiento, lo cual se deja observar en el respeto de la línea roja en la mayoría de los sindicatos.

Esta condición favorable se constituye en una oportunidad para avanzar en procesos participativos para viabilizar e incluir realmente en la gestión al territorio dominado por las federaciones de colonos.

    - Falta de información para la gestión

La falta de información sobre las actividades humanas que pueden estar causando disturbios en los procesos ecológicos y la magnitud de sus impactos, es una debilidad que dificulta la orientación de la gestión hacia los objetivos de conservación.

El desconocimiento o la poca relevancia que el SERNAP pueda darle a estos temas probablemente generará una gestión limitada con posibles resultados adversos a la conservación de la biodiversidad.

    -  Posible inadecuación de la categoría de manejo y de la zonificación

La categoría de Parque Nacional es incompatible con la realidad jurídica y social del TIPNIS, situación que conlleva a la urgencia de cambiarla a una categoría más adecuada con las actividades productivas y el acceso a los recursos naturales que se están permitiendo.


Considerando que la mayoría de las presiones y amenazas responden a procesos y situaciones de orden sociopolítico y de gestión del área protegida, la resolución de los conflictos, la supresión de las actividades destructivas de la naturaleza y la incorporación de prácticas sostenibles de producción y aprovechamiento de los recursos solo serán posibles si se logran ciertas condiciones en el relacionamiento, la comunicación y la interacción de la administración del área con los sectores sociales involucrados.


CONCLUSIONES

El TIPNIS es un Parque Nacional con una extensión significativa y a su vez forma parte de un conjunto de áreas protegidas (Corredor de conservación Madidi - Amboró) que probablemente están permitiendo funciones propias de un corredor biológico de alta biodiversidad, condición que le da mayor importancia para su conservación.

Como todas las áreas protegidas de Bolivia que abarcan bosques de Yungas y de pie de monte, el TIPNIS se enfrenta a diversos problemas que se repiten a lo largo de toda esta región ecológica:

fragilidad ecosistémica, producción de coca, conflictos sociopolíticos, posibles reservorios de hidrocarburos, existencias de maderas preciosas y otros recursos silvestres con mucha demanda, etc.

Sumado a estas características, el TIPNIS se encuentra emplazado en una zona que une a dos departamentos (Beni y Cochabamba), cuyos límites no están definidos. La construcción de un camino que une a estos dos departamentos es sin duda alguna una necesidad de vinculación que los departamentos mencionados y el país entero tienen. Lamentablemente, este camino cortaría el parque en dos, en un país donde el Estado tiene grandes limitaciones para fiscalizar y aplicar su cuerpo normativo y donde falta aún claridad en los derechos de acceso a la tierra y a los recursos naturales. Estas son condiciones que ponen en serio riesgo la integridad del área protegida y vulneran la seguridad de acceso a los recursos que tienen las comunidades del Territorio Indígena si es que se consolida una carretera que atraviese el área.

A pesar de este dramático escenario, que se repite en casi toda la faja subandina tropical sudamericana, el TIPNIS cuenta con potencialidades y oportunidades muy favorables para su consolidación, como la doble categoría (área protegida y territorio indígena) y el reconocimiento jurídico de ambos, la participación activa del sector indígena, el reconocimiento local y regional de todos los sectores involucrados y un gran tamaño que si bien muestra algún grado de intervención en la casi totalidad de su extensión, por ahora se mantiene gracias a actividades de bajo impacto y una cierta capacidad de resiliencia.

La gestión del TIPNIS ha tenido éxitos importantes considerando el buen relacionamiento que ha logrado con los actores locales, sobre todo a nivel de la Subcentral Indígena Isiboro Sécure, ha logrado mejorar el relacionamiento con agrupaciones sociales conflictivas como el sector colono y ha conducido eficientemente los problemas sociales emergentes en un escenario político muy adverso, inclusive al interior del propio SERNAP. Pero pese a los logros alcanzados y a una gestión social que se muestra favorable, se registran factores que de no ser atendidos pueden desestabilizar seriamente la gestión en el futuro.

 

 

                                                                    Sources: les sites de ParksWatch;        (d'après des données de 2005)

 

foto: casa de los guarda parque >tipnis-casa-guarda-parque.jpg

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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 01:38
A la caza de lagartos, por el progreso de Loreto


 

Texto: Liliana Carrillo • Fotos: Ronald Melgarejo

¿Ha cazado lagartos?”. Lanzada a quemarropa, la pregunta asusta. “He cazado hormigas, de niña”. “Entonces, mejor si no se cae al agua...”. Carlos Balcázar no bromea. Ni él ni su casi medio siglo de experiencia como cazador de yacarés, que le han dado el apodo de Kalimán en el Beni.

Loreto. 1. 00 de la madrugada del tercer viernes de septiembre en la laguna Mendoza, a 45 kilómetros de la ciudad de Trinidad. Los bichos no duermen; la luna, sí. Balcázar, de pie en una barcaza, no precisa hablar con Ángel Suárez, el remero. Han cazado juntos desde hace mucho, mucho tiempo. “Desde niños, 40 años serán”. Ahora tienen 53.

“Ahí está, ¿ve los ojos? Brillan”. Y yo que nada distingo, hasta que el rifle dispara. El ruido espanta a una bandada de pájaros. Después, segundos de silencio. Una vara busca en el agua; un hacha golpea el hueso y el cuerpo de un lagarto es jalado a la balsa. Aún se mueve. “Ya está muerto; no tenga miedo”, dice don Carlos.

Ha comenzado la temporada de caza controlada en el municipio de Loreto. Durante tres meses, en ley, los pobladores de la zona aprovecharán la carne y cuero de los reptiles en el marco del Plan Lagarto que, en tres años de implementación, ha incrementado las ganacias de comunarios, indígenas y hacendados hasta en un 200 por ciento.

Peligrosamente, “cocodriliano”

En Bolivia existen cinco especies de reptiles de la orden cocodrilia. El más famoso, por su valioso cuero y su fiera apariencia, es el caimán negro, un gigante cuya cacería está prohibida. Más pequeño y popular es el caimán overo, yacaré o lagarto a secas .

Desde que tiene memoria, Miguel Guasebe Tamo ha cazado lagartos en las lagunas que rodean Boybo, el pueblo tacana donde nació hace 39 años. “De chicos, ya íbamos tras los yacarés, ayudábamos a los grandes”, recuerda y admite que sólo una noche sintió temor en la empresa: “Esa vez, el lagarto, asustado, ha brincado a la balsa y nos ha perseguido”, relata. “Esas veces no sabíamos que había sido tan bueno el yacaré”.

Los pueblos originarios no fueron los únicos en apreciar el fino cuero de los reptiles que habitan en Beni, Pando, Santa Cruz y el norte de La Paz. Durante la primera mitad del siglo XIX, los depredadores, traficantes y cazadores furtivos de lagartos pusieron en peligro a la especie.

En los años 80, Bolivia suscribió el Cites (Convención sobre el Comercio Internacional de Especies Amenazadas de Fauna y Flora Silvestres) y prohibió la caza y la exportación de caimanes en general. En los diez años que duró la veda, la población de lagartos se recuperó; aunque nunca se libró de la cacería ilegal.

“Hasta más de 20.000 cueros salían anualmente del país vía Paraguay; ése era uno de los mayores problemas”, refiere Mario González. Este español, historiador de profesión y enamorado de Beni, es el director de la Asociación Boliviana de Conservación (ABC), una de las instituciones que, en sociedad con varios municipios y comunidades, lleva adelante el Plan Lagarto.

A la caza... de traficantes

En una noche, con suerte y puntería, dos expertos pueden cazar hasta 20 lagartos. “Hay que saber cuáles; deben ser machos y adultos”. Carlos Kalimán los reconoce con sólo verlos en el agua. “Antes, se mataban más pero sin conciencia ... hasta hembras”, relata. Por eso vino la veda.

Tras la prohibición de diez años, ya en los 90, el saludable incremento de la población de lagartos inspiró varios programas piloto de conservación y aprovechamiento. En 1999 comenzó a funcionar el Programa Nacional de Conservación y Aprovechamiento Sostenible del Lagarto.

En 2006, en Loreto se implementó el Plan Lagarto con el apoyo de ABC, la Fundación Amigos de la Naturaleza (FAN) y la Sociedad para la Protección de la Vida Silvestre (WCS, por sus siglas en inglés). El municipio de la provincia Marbán del Beni fue elegido no sólo por sus niveles de pobreza, sino también por su rica fauna. “El estudio de ABC que realizamos en 2.400 kilómetros de orillas de ríos, arroyos, lagunas nos permite asegurar ahora que las poblaciones de lagartos no corren riesgo y pueden ser aprovechadas”, explica Mario González.

Con todo, el inicio no fue fácil. “Eran varios los actores comprometidos —indígenas, campesinos y hacendados— y a ello se sumaba el papel de los traficantes que manipulaban los cupos para la caza”, recrea el director de ABC.

“Han venido a la comunidad y han dado talleres. Al principio, la gente quería seguir vendiendo a los rescatistas de cuero; ha habido peleas, pero al final hemos decidido trabajar con el Plan Lagarto”, cuenta Miguel Guasebe.

“El propio control de la gente ha hecho escapar a los contrabandistas”, comenta Vladimir García, un veterinario potosino que dirige el Plan de Loreto.

Ahora, el cupo de animales cazados es distribuido entre la gente que se inscribe en el programa. “Antes, lo que sucedía era que las autorizaciones de caza se vendían a las curtiembres que al mismo tiempo contrataban cazadores intermediarios, para que acopiaran el cupo sin ningún límite. No teníamos idea de cuántos animales se estaban cazando ni de dónde. Y en ese sistema perverso, evidentemente el beneficio no llegaba a las comunidades, que es la lógica de este programa”, explica González.

Después de meses de talleres y reuniones, se logró la participación no sólo de comunidades indígenas y vecinos municipales, sino también de hacendados, quienes permiten la cacería en los ríos y lagunas de sus propiedades y aportan con el transporte de las presas hasta Trinidad, paso que es vital en el proceso.

“Ahora, la gente, especialmente los más pobres, están viendo los beneficios”, evalúa Carlos Balcázar, el cazador que representa a los campesinos en el Comité de Gestión del Plan Lagarto, que también incluye a Miguel Guasebe como voz de los indígenas y a representantes de los hacendados y las instituciones de apoyo.

En la cadena de frío

Durante décadas, era común ver cuerpos de lagartos despellejados a las orillas de las lagunas. Para los cazadores, lo importante sólo era el cuero. Con el Plan Lagarto, ahora también se aprovecha la carne del animal.

“Sucede que la conservación de la carne requiere ingresar rápidamente en la cadena de frío”, explica González. En ocho horas, dadas las altas temperaturas de la zona, la carne de yacaré comienza a descomponerse si es que no es refrigerada. Pero Loreto está a hora y media de Trinidad y el transporte cuesta caro, ¿qué hacer? “La solución llegó con los ganaderos, que aportan con tractores y camiones en los cuales las presas de caza pueden llegar rápidamente al frío”.

Ahora, dos horas después de salir del agua, los cuerpos despellejados de los lagartos pueden estar en los modernos frigoríficos de la Universidad Técnica del Beni (UTB), que también es parte del Plan. “Tenemos capacidad para conservar hasta 120 kilos de carne de lagarto. No sólo la conservamos, también la etiquetamos y la comercializamos”, explica Pedro Villalobos Vargas, ingeniero comercial trinitario, director del Programa de Fomento del Beni (Infopebe) de la UTB.

De un lagarto se puede aprovechar hasta 80 kilos de carne, de la cola y del lomo, que se comercializa dentro y fuera del país para el consumo humano. El gancho no sólo es su exótico sabor sino sus cualidades nutricionales. Según el ingeniero Villalobos, “se trata de una carne baja en grasas saturadas y colesterol; mucho más saludable que la vacuna o porcina a las que aventaja en textura y nutrientes”.

Preparada en frituras, filetes y guisos, la carne de lagarto es el boom de moda en restaurantes como la Casa del Camba, de Santa Cruz, y La Suisse, de La Paz. “También tiene un creciente mercado de exportación a países de Europa, Sur y Norteamérica”, amplía el ingeniero Villalobos.

“¿A qué sabe?”, preguntamos. “Un poco a pescado, pero aun mejor. Los que lo prueban no se arrepienten y siempre repiten”.

Cuero para el mundo

Mientras la carne del lagarto se convierte en un manjar exótico, el aprovechamiento de su cuero —que alguna vez amenazó al animal— se legaliza y crece. “Desde que llegó el Plan Lagarto obtenemos cueros más grandes y de mejor calidad”, explica el licenciado Juan Veza, gerente administrativo de la curtiembre Bolivian Crocco, especializada en el aprovechamiento de reptiles.

Y los cueros que llegan a la curtiembre han crecido, pues el Plan de biocomercio establece que sólo se puede cazar en Loreto animales que midan más de 1,80 metros, desde la punta del hocico hasta la cola.

Los mismos camiones que llevan la carne de lagarto hasta el frigorífico de la universidad se encargan de trasladar los pellejos hasta Bolivian Crocco, ubicada a 10 kilómetros de Trinidad. Ello garantiza la eliminación de mediadores o rescatistas que usufructuaban en el proceso. “Se paga de inmediato”, puntualiza el gerente de la empresa que nació hace ya casi dos décadas.

En la curtiembre, los cueros de yacaré son sometidos a un proceso industrial, que puede durar hasta tres meses, en el que se cortan, se curten y se tiñen.

“La mayor parte del producto sale a los mercados extranjeros donde el cuero boliviano es altamente cotizado para la confección de accesorios y también de prendas”, añade Juan Veza mientras enseña un arco iris de pieles brillantes y suaves.

Actualmente, Bolivian Crocco exporta a Italia, España, Estados Unidos y Alemania. “El mercado nacional no es muy grande pero el cuero de lagarto es muy buscado en la artesanía”, añade.

El impulso de Loreto

“Se invita a las madres de familia a la reunión... Mañana habrá carne en la casa de doña Rosa”. El megáfono colocado en la plaza de Loreto reparte anuncios comunales que el pueblo escucha “mejor que radio”. Desde hace tres años, los 300 pobladores tienen energía eléctrica toda la noche y se nota por la competencia de rancheras entre las casas que siempre tienen las puertas abiertas. Aquí se escucha a Pedro Fernández con una ranchera que no disimula el reggaetón de Daddy Yanky que sale de la rockola del único hotel-pensión del lugar.

Hace 400 años, Loreto fue la primera misión jesuita del Beni; su iglesia conserva aún el estilo sobrio y alegre del barroco mestizo en tallas de madera, grandes ventanales y un enorme órgano.

“Es lindo acá, todos nos conocemos, pero cuando llueve... no se puede creer, nos inundamos y quedamos aislados meses”, relata doña Ana, vecina del pueblo milenario, tradicionalmente ganadero, que ahora ve en el lagarto una veta para su desarrollo.

“El Plan Lagarto es un ejemplo de biocomercio —refiere Ruth Delgado, jefe de la Unidad de la cadena de cueros y carnes silvestres de la FAN. El objetivo es hacer uso del yacaré pero velando por su preservación. Es decir, el aprovechamiento sostenible de los animales y la distribución equitativa de los beneficios que de ellos obtengan las comunidades”.

“Nosotros vamos a seguir con el programa; porque por tres meses nos ayuda mucho. Es decisión de los tacanas”, refuerza Miguel Guasebe y él representa a 20 comunidades indígenas.

De vuelta a la laguna

La mesa del restaurant “Uhccojiricoy wenco” espera con un menú de lagarto: lo han preparado al ajillo, a la diabla, al perejil... “Sabe a pescado y un poquito a pollo”. Frente al plato de chicharrón de yacaré, es difícil no recordar esa madrugada del penúltimo viernes de septiembre.

“¡Bah!, el hombre siempre ha vivido de los animales, hay que agradecer... mejor coma”, me reta don Kalimán. Para él, y para muchos en Loreto, vienen tres meses de caza en balsa en busca de ojos que brillen en la noche.


Pueblo
Ubicación. El municipio de Loreto es parte de la provincia Marbán del departamento del Beni. Está a 45 km de la ciudad de Trinidad.

Historia. Situado en tierra de indígenas tacanas, Loreto fue fundado como misión jesuítica durante la Colonia. En la República adquirió rango de municipio.

Recursos. Las comunidades aledañas viven aún de la caza y la pesca. La economía de Loreto se basa en la ganadería y, recientemente, en el biocomercio.

Lagartos. Según un estudio de la ABC, la población de lagartos en ríos y lagunas de Loreto es óptima, por lo que la caza de la especie es legal durante 3 meses.

La cacería de lagartos fue vedada por 10 años. Hoy, la población de los reptiles crece en 4 departamentos

 

 

 

 

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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 17:41

Aucun des candidats à la présidence de la bolivie ne dit qu’il erradiquera la coca du Chaparé

Ningún candidato dice que erradicará coca chapareña
 Six des huit candidats en campagne annoncent qu’ils feront faire des études pour définir la quantité de coca qui se consomme en Bolivie et établir combien il convient d’en produire dans la zone tropicale du département de Cocabamba
Seis de los ocho candidatos en campaña anuncian que harán estudios para definir la cantidad de coca que se consume en Bolivia y establecer cuánto se puede producir en el trópico cochabambino.

Por Alcócer Caero Gisela - Los Tiempos - 26/10/2009

 

Bien que les candidats de l’opposition rejettent et critiquent les déclarations controversées du président Evo Morales lors de l’ouverture de sa campagne à Chimoré, où il a donné l’assurance qu’il modifiera avec le soutien des deux tiers du sénat la Loi 1008 pour légaliser la production de coca dans le Chaparé (région jusqu’à présent considérée comme excédentaire en production), aucun candidat n’a le courage de dire qu’il mènera à bien le programme d’erradication de la coca de de changements de production agricole dans cette région du pays.

Pese a que los candidatos de la oposición rechazan y critican las polémicas declaraciones efectuadas por el presidente Evo Morales en la apertura de su campaña en Chimoré, en las que aseguró que con dos tercios en el Senado modificará la Ley 1008 para legalizar la producción de coca en Chapare (considerada hasta ahora como una zona de cultivo excedentario), ninguno se anima a decir que cumplirá con el proceso de erradicación y sustitución de cultivos en esta región del país.

Bien que la loi 1008 établisse que le Chaparé est une zone de production excedentaire, d'où l'on peut détourner de la coca vers le narcotraffic, aucun des cinq premiers candidats , d'après les résultats des derniers sondages, ne se décide à affirmer qu'il fera respecter la norme officielle: bien au contraire ils annoncent qu'ils feront faire des enquètes pour définir la consommation réelle de coca dans le pays.

Aunque la Ley 1008 establece que Chapare es una zona de cultivo excedentario, de la cual se puede desviar coca al narcotráfico, ninguno de los cinco primeros opositores, según los resultados de las últimas encuestas, se anima a afirmar que hará cumplir esa norma y por el contrario dicen que harán estudios para definir cuál es el verdadero consumo de coca en el país.

Dos días después de estas declaraciones el primer mandatario fue duramente criticado, razón por la cual la senadora y dirigente cocalera Leonilda Zurita intentó explicar lo que quiso decir el Presidente asegurando que no hablaba de producir más coca sino de industrializarla, pero sus explicaciones no tuvieron muchas repercusiones debido a que ninguno de los opositores a Evo Morales admite que tiene entre sus planes erradicar la coca excedentaria de Chapare.

El 24 de octubre Morales dijo que “en este momento lo más importante es ganar (las elecciones) y conseguir más de dos tercios.

Ustedes saben, desde el Senado permanentemente nos han bloqueado, tal vez se han vengado, como nosotros antes hacíamos y les bloqueábamos los caminos”, dijo y precisó que después de ganar las elecciones del 6 de diciembre “lo que nos toca ahora si tenemos los dos tercios: modificar la Ley 1008 y legalizar una pequeña extensión de coca por familia, reconocida por la ley, por eso necesitamos hermanos la mayoría parlamentaria en el nuevo Congreso, en la Asamblea Legislativa Plurinacional”.

Las posiciones
Manfred Reyes Villa, del Plan Progreso para Bolivia–Convergencia Nacional (PPB–CN), aseguró que subvencionará el consumo tradicional de la hoja sagrada. El candidato aseguró que como nunca antes en el país se está produciendo coca que es desviada al narcotráfico, pero sostiene que hará un estudio con la comunidad europea, para saber cuál es la cantidad que necesita Bolivia para el acullico. “Yo voy a subvencionar a los que realmente utilizan la coca a un precio sumamente barato para que puedan consumirla y acullicarla. Vamos a ver qué posibilidades hay de industrializar y si es que hay la posibilidad de vender más”, aseguró, aclarando que su gobierno será de “cocaína cero”.

Samuel Doria Medina (UN) sostiene que la coca del Chapare mediante el narcotráfico genera delincuencia, crimen y drogadicción.

“Por eso, vamos a tratar la coca del Chapare como lo que es: es decir, como el origen de un gravísimo problema de narcotráfico, delincuencia y drogadicción. Vamos a frenar a los cocaleros y al negocio ilícito relacionado con la coca”, dijo pero no explicó si este freno vendrá de la mano de la erradicación o si sólo se trata de medidas policiales que tienen relación con la interdicción.

René Joaquino, de Alianza Social (AS) exigió que el Presidente explique a dónde irá la coca del Chapare y sostuvo que si él fuera Presidente mandaría a hacer un estudio técnico y de acuerdo a los usos y necesidades tomaría una decisión política. “Tiene que ser una decisión técnica primero y después política”, agregó.

Alejo Veliz (Pulso) sostuvo que le pondrá punto final a las ideas de Evo Morales, porque provocan situaciones vergonzosas para el país, sin embargo, sostiene que “vamos a respetar únicamente el cato de la hoja de coca como ha habido convenios desde hace muchos años atrás, un cato por familia, por afiliado en Yungas de Vandiola y Yungas de La Paz, en el resto del país la coca excedente va a ser acopiada por el Estado para ser industrializada fuera del país”, sostuvo.

Para finalizar Román Loayza aseguró que el presidente Evo Morales se contradice y que de ser electo presidente, él legalizaría la producción de coca no sólo en el Chapare sino en todo el país e incluso informó que ya está redactando su proyecto de Ley con los cocaleros de los Yungas de La Paz.

 

ZONA DE CULTIVO TRADICIONAL

Artículo 9º.- La zona de producción tradicional de coca es aquella donde histórica, social y agroecológicamente se ha cultivado coca, la misma que ha servido para los usos tradicionales.
En esta zona se producirán exclusivamente los volúmenes necesarios para atender la demanda para el consumo y usos lícitos.
Esta zona comprenderá las áreas de producción minifundiaria actual de coca de los subtrópicos de las provincias Nor y Sud Yungas, Murillo, Muñecas, Franz Tamayo e Inquisiví del Departamento de La Paz y los Yungas de Vandiola, que comprende parte de las provincias de Tiraque y Carrasco del Departamento de Cochabamba. (Ley 1008).

 

LEY 1008

Artículo 10º.- La zona de producción excedentaria en transición es aquella donde el cultivo de coca es resultado de un proceso de colonización espontánea o dirigida, que ha sustentado la expansión de cultivos excedentarios en el crecimiento de la demanda para usos ilícitos. Esta zona queda sujeta a planes anuales de reducción, sustitución y desarrollo, mediante la aplicación de un Programa Integral de Desarrollo y Sustitución; iniciando con 5 mil hectáreas anuales la reducción hasta alcanzar la meta de 8 mil hectáreas anuales. La concreción de estas metas estará condicionada por la disponibilidad de recursos financieros del Presupuesto Nacional, así como por compromiso y desembolsos de la cooperación técnica y financiera bilateral y multilateral suficiente, que deberá orientarse al Desarrollo Alternativo.
Esta zona comprende las provincias Saavedra, Larecaja y Loayza, las áreas de colonización de Yungas del Departamento de La Paz y las provincias Chapare, Carrasco, Tiraque y Arani del departamento de Cochabamba.

LES CANDIDATS DONNENT LEUR OPINION   OPINAN LOS CANDIDATOS

Manfred Reyes Villa | PPB - CN Todos sabemos a dónde va esa coca
Evo Morales ve como desarrollo para el país el aumento de los cocales y en el Chapare han aumentando como nunca en la historia de Bolivia, pues nuestro país necesita solamente, lo tradicional de la hoja de coca, entre 8 mil y 10 mil hectáreas y nunca ha pasado de las 30 mil y hoy estamos en las 54 mil hectáreas, entonces con estas poses demagógicas, ofreciendo producción sin mediciones, realmente es preocupante a donde quiere llevarnos el presidente de las seis federaciones de cocaleros, a dónde quiere llevar al país con la coca excedentaria, todos sabemos dónde va esa coca.

 

Samuel Doria Medina | UN "Sólo priorizan la coca"
En los últimos cuatro años la coca se ha duplicado en Bolivia. Paralelamente, han subido los precios de la canasta familiar. 

Donde antes se sembraba verduras y frutas, ahora se siembra coca. Eso es gran parte del problema de la subida de los precios en alimentos. En otras palabras, estamos ante un gobierno que prioriza la coca y deja en segundo plano la alimentación y la canasta familiar.   Bolivia no necesita un gobierno que sólo beneficia a los cocaleros. Bolivia necesita un gobierno que piensa en todos los bolivianos. Y por eso yo tengo una propuesta para crear trabajo en los 9 departamentos, tanto en el campo como en la ciudad. Vamos a producir, industrializar y a comercializar alimentos orgánicos, dando trabajo a todos.

 

René Joaquino | AS "Primero haremos un estudio"
Es legítima la aspiración de un político querer los dos tercios o la totalidad de los votos, pero el sistema democrático necesita de pesos y contrapesos, pero sobre la propuesta de legalizar la producción de coca en el Chapare es necesario primero hacer un estudio porque tendría que haber una razón más allá e una justificación política, una razón técnica, el porqué y para qué vamos a legalizar. A qué va a estar destinada esa coca excedentaria que la Ley 1008 prevé solamente como 12 mil hectáreas y ahora quieren llegar a 20. Hay que decir con claridad a dónde va a ir y en qué se va a usar esa coca de 8 mil hectáreas y si se justifica técnicamente el pueblo y la comunidad internacional van a estar conformes.

 

Alejo Veliz | Pulso "Se va al narcotráfico "
Evo sólo sabe hacer eso. Sembrar coca, cultivar coca, hacer negocios con la hoja de coca, cuando eso sirve para dedicarse a cosas ilícitas, por lo tanto creo que es una vergüenza, es un hombre que ha perdido la moral, la ética y los valores fundamentales y nada tiene sobre todo de histórico o de originario. Creo que va justamente con los negocios que está haciendo y que afectará terriblemente a su futuro porque yo estoy convencido que  va a aumentar el cato de hoja de coca por persona e individual, lo que significará muchos miles de cultivos de hoja de coca y mucha de esa producción está destinada al narcotráfico, por lo tanto es un tema completamente preocupante que rechazamos.

 

Román Loayza | Gente "Queremos  nueva ley de coca"
Es totalmente contradictorio. Yo estoy criticando al Gobierno porque hasta ahora no acaban con la Ley 1008 que penaliza la hoja de coca. Debería levantarse, porque si no penalizan la hoja de coca ya no se envía al narcotráfico porque cuando está penalizada se va al narcotráfico. En vez de modificar esa ley es necesario hacer otra ley. Yo tengo una propuesta de ley para la coca, que estamos haciendo con los cocaleros de los Yungas de La Paz, porque ellos no quieren que haya coca excedentaria, ellos quieren coca para acullico, para medicina y hoja sagrada. Hay que hacer una nueva ley de coca y acabar con la Ley 1.088 y no sólo modificarla.

 

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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 01:35




Cochabamba, au coeur de la Bolivie
Cochabamba, en el corazón de Bolivia

                                                                                                            JUAN DIEGO NUSA PEÑALVER

1.—¿Cuál será la sede de la VII Cumbre del ALBA?   Quel sera le siège du VIIè sommet de l'ALBA ?

La ville de Cochabamba, capitale du département  du même nom, est prête à accueillir aujourd'hui et demain (16 et 17 octobre 2009) le 7ème sommet de l'Alliance Bolivarienne des Peuples de Notre Amérique (ALBA) où les thèmes des échanges commerciaux, de l'environnement et de la justice internationale seront des priorités dans l'agenda des présidents ou leurs représentants des pays de ce bloc intégrationiste formé par Cuba, le Vénézuela, la Bolivie, le Nicaragua, la Dominique, le Honduras, Antigua et Barbade, l'Equateur, Saint Vincent et les grenadines.

Le rendez vous présidentiel se déroulera à l'hotel Cochabamba tandis qu'un autre volet du sommet prendra place dans le stade Félix Capriles où les mouvement sociaux de chacun des pays membres de l'AlBA pourront rencontrer les présidents participants.

La ciudad de Cochabamba, capital del departamento boliviano del mismo nombre, está lista para acoger hoy y mañana a la VII Cumbre de la Alianza Bolivariana de los Pueblos de Nuestra América (ALBA), en la cual los temas de intercambio comercial, medio ambiente y justicia internacional serán prioritarios en la agenda de los presidentes, o sus representantes, de los países de este bloque integracionista conformado por Cuba, Venezuela, Bolivia, Nicaragua, Dominica, Honduras, Antigua y Barbuda, Ecuador y San Vicente y las Granadinas. La cita presidencial se desarrollará en el Hotel Cochabamba, mientras el otro escenario de la reunión será el estadio Félix Capriles, donde los movimientos sociales de cada uno de los países miembros del ALBA sostendrán un encuentro con los mandatarios asistentes.

2.—¿En dónde se encuentra ubicada la ciudad de Cochabamba?   Où se situe la ville de Cochabamba ?

Au milieu de la cordillère des Andes, on la connait comme "la ville du printemps éternel" à cause de son climat sec et tempéré. La ville de Cochabamba, qui appartient à la province du Cercado, est considérée comme le coeur de cette nation de l'altiplano, tant par sa situation géographoque que par le dynamisme de son économie. Elle se trouve à 50 kilomètres au sud est de La Paz, son altitude est de 2 500 mètres, au nord  le département de Cochabamba touche celui du Beni, au sue ceux de Potosi et de Chuquisaca, à l'est celui de Santan Cruz et à l'ouest ceux de La Paz et Oruro.  

En medio de la cordillera de los Andes y conocida como la "ciudad de la eterna primavera", por su clima seco y templado, la ciudad de Cochabamba, perteneciente a la provincia de Cercado, es considerada el corazón de esa nación del altiplano, tanto por su ubicación geográfica como por la fuerza de su economía. Distante 500 kilómetros al sudeste de La Paz y a 2 500 metros de altura sobre el nivel del mar, limita al norte con el departamento de Beni, al sur con los de Potosí y Chuquisaca, al este con el de Santa Cruz y al oeste con los de La Paz y Oruro.

 

3.—¿Cuándo fue fundada?

       De quand date sa fondation?

Originairement appelée Villa real de Oropeza, elle fut fondée en tant que l'une des parties du vice Royaume du Pérou le 15 aout 1571 par le capitaine Géronimo de Osorio, selon l'ordre du vice roi Francisco de Toledo.

Originalmente llamada Villa Real de Oropeza, fue fundada, como parte del Virreinato del Perú, el 15 de agosto de 1571 por el Capitán Gerónimo de Osorio, según órdenes del virrey Francisco de Toledo.

Parmi ses symboles les plus remarquables se trouve le Christ de la Concorde, sculpture monumentale de césar Terrazas Pardo, qui a voulu immortaliser dans l'oeuvre l'attitude d'un christ protecteur. Avec ses 40 mètres 04 de hauteur si l'on compte le piedestal, il dépasse de 3 mètres 80 la statue du Christ rédempteur de Rio.

Entre sus símbolos más notables sobresale el Cristo de la Concordia, situado en el cerro San Pedro, una monumental escultura del artista César Terrazas Pardo, quien quiso inmortalizar en su obra el gesto de un Cristo protector. Con sus 40,04 metros de altura desde el pedestal, sobrepasa por 3,8 metros la estatua del Cristo Redentor de Río de Janeiro.

4.—¿Qué proyección tienen sus movimientos sociales?

  le département de Cochabamba peut compter sur une mobilisation sociale très forte, particulièrement celle des cocaleros et des paysans de sa zone orientale, mais elle peut aussi s'appuyer sur d'autres forces telle la Centrale Unitaire des Travailleurs et  Paysans de Bolivie.

Cochabamba cuenta con un fuerte movimiento social, en especial de cocaleros y campesinos en su zona oriental, pero también dispone de otras fuerzas como la Central Sindical Unitaria de Trabajadores y Campesinos de Bolivia.

Ese entramado popular reúne además a sectores agrarios, fabriles, de mujeres de la organización rural Bartolina Sisa, indígenas y regantes, quienes tuvieron diferentes banderas de luchas contra el modelo neoliberal en el rescate del agua, por los derechos humanos, la soberanía nacional, por el empleo y nuevos mercados legales para la hoja de coca, la salud, la educación y demandas indígenas.

En el alcance del Gobierno del presidente Evo Morales Ayma, su referente electoral, ha tenido un peso decisivo el núcleo importante de movimientos sociales.

De plus Evo Morales est le leader des cocaleros de la région de Chaparé qui appartient au département de Cochabamba et il préside encore actuellement et depuis 96 le Comité de Coordination des 6 Féderations des Tropiques de Cochabamba.

Morales Ayma es, además, líder de los cocaleros de la región cochabambina del Chapare y desde 1996 presidente del Comité de Coordinación de las seis Federaciones del Trópico cochabambino hasta la actualidad.

5.—¿En qué rama descansa la economía cochabambina?   Sur quels domaines d'activités repose l'économie de Cochabamba?

Avec une population de plus d'un demi million d'habitants, celle que l'on connait aussi sous le nom de "capitale des vallées boliviennes" est la troisième ville la plus importante du pays sur le plan économique.

Con una población de más de medio millón de habitantes, la también conocida como capital de los valles de Bolivia es la tercera urbe en importancia económica del país.

En los últimos años, Cochabamba aumentó sus ingresos debido a la nacionalización de los hidrocarburos. Esa medida tuvo efectos multiplicadores en la redistribución de los excedentes a favor de los sectores más vulnerables, y estuvo acompañada de otras como el apoyo a los pequeños productores con créditos del Banco de Desarrollo Productivo. El principal producto de exportación de Cochabamba es el gas natural. También dispone de producciones agrícolas, minería, fomento de masas vacuna y caprina.

Cochabamba cuenta con el mayor mercado al aire libre de Sudamérica, llamado La Cancha, abierto los siete días de la semana.

 

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24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 00:56
L’installation de cocaleros dans le Parc National TIPNIS continue, l’INRA annonce des expulsions

Continúa asentamiento de cocaleros en el TIPNIS, el INRA anuncia desalojo

 

Trinidad, 23 Oct (Erbol).-

Les membres des comités civiques du département du Béni ont rédigé aujourdhui (vendredi 23 octobre 2009) une résolution pour la défense des instituteurs dans le Territoire Indigène et le Parc National Isiboro Sécouré (TIPNIS) victimes des menaces des planteurs de coca.

Los cívicos del Beni emitieron este viernes una resolución en defensa de los maestros del Territorio Indígena y Parque Nacional Isiboro Sécure (TIPNIS), debido a que son atemorizados por cocaleros.

 

De acuerdo al informe de la radio Patujú de la Red Erbol, los maestros de San Miguelito, ubicada al sur del departamento del Beni, abandonaron sus fuentes de trabajo por el constante amedrentamiento del que son victimas.

 

Le regroupement du comité civique  a décidé d’envoyer une copie de cette résolution au président bolivien afin qu’il garantisse – en tant que président des six fédérations des tropiques de Cochabamba, le retrait immédiat de tous les colons planteurs de coca de ce secteur.

La entidad cívica decidió mandar una copia de la resolución al Primer Mandatario de la Nación, para que en su condición de presidente de las Seis Federaciones del Trópico Cochabambino garantice el retiro inmediato de todos los colonos cocaleros de la zona.

 

Les membres du comité civique ont aussi dénoncé la discrimination dont sont victimes les peuples indigènes de la part des transporteurs de Cochabamba qui refusent de leur permettre l’accès aux véhicules.

Asimismo, los cívicos denunciaron que los pueblos indígenas son discriminados por los transportistas cochabambinos, que no quieren prestarles el servicio de transporte.

 

El caso será presentado a la representación de Naciones Unidas en Bolivia responsable de la defensa de los derechos humanos para que intercedan ante el gobierno de Evo Morales para que pacifique la región.

 

 

23 de Octubre

Les menaces contre les instituteurs ruraux dans le Parc National TIPNIS feront l'objet d'une enquète
Investigarán amenazas a maestros rurales en Tipnis

Maestros investigaran agresiones a sus compañeros en Tipnis

El director departamental de área de educación, Humberto Parari, informó que una comisión educativa viaja a la población beniana de San Miguelito de Isiboro para verificar las denuncias de amenazas y agresiones de los cocaleros hacia los maestros rurales.

La radio Patujú de la red Erbol informó que los maestros de San Miguelito de Isiboro, que estaban dentro del Terriotorio Indígena Parque Nacional Isiboro Sécure (Tipnis), abandonaron sus fuentes de trabajo por los supuestos amedrentamientos de los asentamientos de cocaleros del lugar.

Los maestros denunciaron que son víctimas de constantes amenazas y agresiones de las organizaciones cocaleras del norte de Cochabamba, que según la radio Patujú aun quieren establecerse en el sur de Beni.
Le directeur Parari a dit qu'il sera fait tout ce qui est possible pour défendre le droit des instituteurs à travailler en toute sécurité et celui des enfants du parc à recevoir une éducation correcte.
El director Parari dijo que se hará todo lo posible para defender el derecho que tienen los maestros de trabajar en un ambiente sin riesgos y de los niños del Tipnis a recibir educación formal.

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  • : 2009: Avant un long voyage....pendant,après.Et aussi des gens.Plus le résultat de mes lectures de la presse bolivienne sur leur gestion particulière de l'environnement..,les mystères de la politique de la coca...+++ Et bien sûr les animaux (de là-bas ou de chez moi)
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