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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 03:21

  Les indigènes du TIPNIS devront-ils défendre leurs droits en prenant le sentier de la guerre ?Elisa Esso Seribó y Abel Laura, de los yuquis, y Juan Carl

 

J'ai souvent parlé du Parc TIPNIS Isiboro-Secure dans ce blog >
Page 10 = 3 articles sur la « guerrilla » livrée par les seuls occupants légitimes du TIPNIS en septembre
2009 pour essayer de déloger des colons-cocaleros qui s’étaient illégalement implanté dans la réserve protégée (Et qui avait fait au moins 1 mort)  
Les suites de ce conflit font l’objet d’articles :2 à la page 11,  1 en page 13,  1 p 14  
Page 14 =  1 article qui tente d’expliquer toutes les caractéristiques de ce parc (humaines,                                             administratives, économiques) ;  
Dans un article de la page 15 sur les routes sont évoquées les menaces qui pèsent sur ce parc ;                                    Un article consacré à cette route p 24 et p 27 et un autre juste au dessus de celui-ci p 29

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    En réalité, les meilleurs sites pour voyager en images dans le Parc National

Isiboro-Secure sont ceux des pêcheurs à la ligne!!

Je copie un lien de youtube, spécial, mais pas mal.

 

 

  Por Redacción Central - Los Tiempos - 28/04/2010

Des indigènes du « Territoire Indigène du Parc National isiboro Sécouré » (TIPNIS) ont prévenu qu’ils empêcheront « à coups de bâton, de machette et de pierres » la présence de machines et de baraquements d’ouvriers de l’entreprise brésilienne 0AS car ils considèrent que la construction de la route vers le département du Béni affectera la paix, la tranquillité et l’harmonie avec la nature pour environ  2 500 familles yuracarés, 2 700 chimanes et plus de 4 000 familles mojeñas.

Indígenas del Territorio Indígena del Parque Nacional Isiboro Sécure (Tipnis) advirtieron que evitarán    con “palos, machetes y piedras”   la presencia de máquinas y campamentos de obreros de la brasileña  OAS porque consideran que la construcción de la carretera a Beni afectará la paz, tranquilidad y armonía  con la naturaleza de aproximadamente 2.500 familias yuracarés, 2.700 chimanes y más de 4 mil mojeñas.

Marcelino Cuéllar et Ignacia Vilche Matene, représentants des communautés, ont indiqué que les 9 000 familles des   etnies mentionnées vivant dans le TIPNIS « n’ont jamais été consultées sur le bien fondé  ou pas de la construction d’une route qui traverse tout leur territoire naturel.

              Marcelino Cuéllar e Ignacia Vilche Matene, representantes de las comunidades, indicaron que las aproximadamente 9 mil familias de las mencionadas etnias que habitan el Tipnis, “jamás fueron consultadas sobre las conveniencia o no de construir una carretera que cruce todo su habitad”.

  TIPNIS-arboles.jpg


Los dirigentes llegaron a Cochabamba para participar en la Conferencia Mundial de los Pueblos sobre Cambio Climático para denunciar el impacto que tendrá la ruta Villa Tunari–San Ignacio de Moxos en sus comunidades.

“Nosotros, como dueños del territorio indígena, hemos pedido mucho antes de que el Gobierno logre financiamiento brasileño para construir la carretera, que consulten  con nosotros si conviene o no ese proyecto”, explicó Cuéllar, originario de la comunidad Montecristo de Ichoa.

“Ils n'ont fait aucune étude d'impact sur l'environnement, et ce qui est pire, ils ne sont jamais venu nous voir, nous  les communautés indigènes, pour nous poser la moindre question. De notre côté, nous avons envoyé de nombreuses résolutions suite à nos assemblés de communautés en exigent leur présence, et ils ne tiennent aucun compte de nous."

No hicieron ningún estudio ambiental y lo que es peor, nunca han venido a las comunidades indígenas a preguntarnos nada. Por nuestra parte, hemos mandado muchas resoluciones de asamblea de comunidades exigiendo su presencia y no nos hacen caso”, acotó por su parte, la dirigente Vilche Matene, originaria de la comunidad Trinidadcito de la Zona Central.

Consulta
Los dirigentes dijeron que los indígenas exigen que autoridades de Gobierno, la empresa brasileña OAS y la ABC se constituyan en las comunidades para dialogar e intercambiar criterios sobre la conveniencia o no de construir la nueva carretera, que en su criterio no favorece a las familias indígenas porque al cruzar toda la zona alta destruirá toda la potencialidad de flora y fauna existente en esa zona.

Cuellar explicó que “el Tipnis tiene dos categorías: primero es una Tierra Comunitaria de Origen (TCO) y segundo es el corazón de Bolivia; por tanto cualquier intervención, apertura de sendas, caminos y otras construcciones altera el equilibrio ecológico y no nos favorece en nada”.

 

 

 

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