Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 17:02

 

 

Face au défaut d’énergie auquel le Brésil se voit confronté, le pays veut se concentrer pleinement sur l’hydroélectricité. D’ici 2030 le pays devrait générer un doublement de la capacité actuelle, c’est-à-dire une quantité supplémentaire de 100.000 mégawatts, dont 80.000 mégawatts devraient provenir du trajet des nouveaux barrages dans le bassin amazonien. Durant les vingt ans à venir, entre soixante et soixante-dix barrages seront construits sur les rivières Xingu, Madeira, Araguaia, Tocantins, Tapajós et Trombetas. Le gouvernement brésilien affirme que quarante pourcent de ces constructions se feront sur des territoires indigènes ou des zones protégées, mais d’autres sources signalent qu’il s’agit ici d’une sous-estimation.

Les projets nuiront à presque toutes les communautés indigènes aux alentours, puisqu’ils abîmeront la faune et la flore, entraîneront la construction de nouvelles routes, ainsi que de nouvelles vagues d’immigration. Malgré les objections émises entre autres par l’Institut Brésilien de l’Environnement et des Ressources Naturelles (IBAMA), le gouvernement est déterminé à poursuivre ses plans, car il veut que le pays connaisse une croissance économique et libère tout son potentiel.

( Pelo menos 1,8 mil comunidades bolivianas dos departamentos de Pando e Beni poderiam ser inundadas pela construção de duas centrais hidroelétricas no rio Madeira pelo Brasil-EFE,31 08 )

Le projet des barrages du rio Madeira ne peut toutefois se comprendre que si on le replace dans le cadre de l'IIRSA, l'Initiative pour l'intégration des infrastructures régionales sud-américaines».

L'objectif de l'IIRSA, adoptée en 2000 par douze présidents sud-américains c’est le développement d'infrastructures et de centres de production d'énergies dans un corridor d'intégration qui remonte toute l'Amazonie.

 L'IIRSA prévoit notamment une voie navigable de 4200 kilomètres qui permettra le transport fluvial – puis terrestre via la construction de nouvelles routes – du soja et des agrocombustibles produits en Amazonie vers les ports de la côte pacifique, pour les exportations vers l'Asie.

Ces voies de communication sont dessinées en fonction des échanges commerciaux et de la chaîne de production des transnationales nord-américaines et brésiliennes. Les entreprises qui financent l'IIRSA, ce sont notamment les grands producteurs de soja et les entreprises de la filière de l'agroalimentaire.

Lula a passé des engagements avec les firmes de l'agrobusiness comme Monsanto, Syngenta, Cargill ou encore Nestlé pour réaliser son rêve de convertir le Brésil en premier producteur mondial de soja, de canne à sucre et d'éthanol. (cf Le Monde Diplomatique)

 

Al ser un gigante económico y una de las democracias más numerosas del planeta, Brasil mantiene una posición de influencia en Sudamérica.

El 65% de la selva amazónica está en Brasil y se estima que desde 1970 ha perdido unos 700.000 km² que han sido deforestados. Esta área es equivalente a la superficie de Francia y Bélgica y representa el 80% de toda la deforestación reciente en la Cuenca Amazónica. (La ganadería es responsable de cerca del 70% de toda la pérdida. Las otras actividades responsables son la producción de soja y la tala ilegal. Otros factores son la construcción de nuevas represas hidroeléctricas y de caminos a través de bosques. Esto porque permiten el acceso a tierras de bajo coste y porque atraen a nuevos inmigrantes.

Brasil es el mayor exportador mundial de soja y carne. Gran parte de esta producción responde a una creciente demanda mundial, particularmente de economías asiáticas, China en particular)

 

Lorsque Ignacio Lula da Silva a été élu président du Brésil beaucoup espéraient une amélioration de la situation. Mais le leader du Parti des travailleurs a, en partie du moins, déçu les attentes.

Pour Lula et son gouvernement, l'écologie représente surtout un obstacle au développement !

L'accent mis par l'Etat brésilien sur la production de biocarburants et la forte poussée de l'exportation de viande de boeuf ont même fait empirer la situation.

 

El río Madera es el segundo más caudaloso de la cuenca amazónica, sólo inferior al Amazonas, del cual es afluente. Nace de la unión de los ríos Beni y Mamoré, en Bolivia, y discurre al norte para entrar en territorio brasileño.

El proyecto central del Complejo Hidroeléctrico se ubica en las proximidades de la ciudad brasileña Porto Belho, en Rondonia, frontera con Bolivia.


- En 2007, organizaciones ambientalistas del mundo advirtieron que “existe gran probabilidad de que Bolivia podría sufrir inundaciones en Pando, pérdida de fauna piscícola y serios impactos en poblaciones de peces aguas arriba del Madera, como la proliferación de vectores de la malaria”.

-d'après l'ex ministre de l'énergie, fondateur de la compagnie hydroélectrique bolivienne, l'état sous estime les coûts d'investissement de Cachuela esperanza et zappe la maintenance;

-d'après les experts canadiens de Tecsult, "No hay que mentirle a la gente: cualquier proyecto tiene impactos ambientales y es preciso prever medidas de mitigación.  Por ejemplo, los efectos más nocivos del proyecto hidroeléctrico de Cachuela Esperanza en el medio ambiente y la biodiversidad serán la alteración y pérdida de agua y vegetación, la migración de peces y la alteración y pérdida de especies de aves. También se impactará en la economía, hábitat y en la forma de vida de los pobladores de las riberas del Madera. Los impactos a nivel social serán la reubicación de hogares, la pérdida de tierras agrícolas, perturbaciones en la actividad pesquera, pérdida de bienes patrimoniales y aumento de enfermedades."

Las comunidades indígenas plantearon: “Rechazamos los proyectos de construcción de las represas del río Madera, que atentan a nuestros intereses de desarrollo regional, derechos, salud integral, bienes y familias. Además de perturbar nuestras actividades agrícolas, de recolección y pesca, en suma, afectando la soberanía y seguridad alimentaria de nuestras regiones”.

Conminaron al Gobierno a “no negociar ni firmar ningún tipo de acuerdo, carta de intenciones, convenios, análisis y estudios de impacto ambiental, social y económico compartidos con el Gobierno del Brasil sobre la construcción de represas y exclusas dentro el Complejo Hidroeléctrico del Río Madera”.

Finalmente, el Gobierno brasileño aprobó el 11 de agosto de 2008 la licencia ambiental, último requisito para el comienzo de la construcción de la Central Hidroeléctrica de San Antonio.. .

 

                                                                                                          Foto: Delfin rosado del Madeira.

 

   !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

 

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : LEVANTATE
  • : 2009: Avant un long voyage....pendant,après.Et aussi des gens.Plus le résultat de mes lectures de la presse bolivienne sur leur gestion particulière de l'environnement..,les mystères de la politique de la coca...+++ Et bien sûr les animaux (de là-bas ou de chez moi)
  • Contact

Texte Libre

Recherche

Archives